(texte manuscrit – 17 févr. 2020 vers 12h25, et ajout vers 18h)

—> livre 3, de la finance, ou du robote à la chose

Les automates de la finance (les machines électronisées des bourses et des banques) sont à la mesure des algorithmes qu’on leur a ajoutés. Ils agissent selon les critères de ces algorithmes et pas autrement. Si ces critères sont le vol et la corruption, l’abus de confiance ou l’entourloupe, ils agiront dans ce sens sans se poser de question au sujet d’une quelconque morale ou du respect de lois éventuelles, ils n’ont pas la capacité de juger, d’apprécier, ils agissent en « automates ! », ils font ce qu’on leur demande… à moins d’un bug ? Un algorithme déviant dont toutes les implications n’ont pas été envisagées ni déterminées intentionnellement, une erreur de programmation de l’ingénieur, ou de son génie si l’imprévu apporte des avantages insoupçonnés… À moins qu’il ne soit pas découvert, cet aspect non prévu, et soit exploité par autre chose qu’un humanoïde de notre engeance… oui, c’est ça, cela s’est probablement déjà produit ?