(texte électronisé – 1er mai 2020, de 18h jusqu’à 23h40)

—> ilem, ce pourrait être le préambule préalable ultime ?
—> Inspiré d’une recette temporelle à venir ou déjà venue, selon que l’on avance ou recule, dans le temps, c’était une fondation, dans une recette du soir, un 22 juin, dans le noir ! La liste de quelques dégoûts intemporels…

(ne pas confondre, évidemment, c’est une ironie, avec les tables de quelques lois d’un vieux testament, on le pastiche assidument !)

(original)
À propos du comment et du pourquoi des indications temporelles, sur la venance des récits au creux de la tête et déversés ensuite de diverses manières :
Les récits sont inspirés ou viennent de la communauté des holobiontes terrestres (de l’animal et du végétal) et plus particulièrement de quelques-uns décrits dans l’ouvrage (ce sont des hominidés, le langage vient de la communauté séjournant dans la zone occidentale des peuplements hominidéens). D’abord, nous commencerons par :
—> le « il » du premièrement * ;
—> un scribe recevra le discours de ce « il », et en élaborera le premier récit ;
—> quelques vieux singes, savants ou non, parfois démunis et pauvres ; puis un vieux savant dans ses cheminements vous en dira tant ;
—> la narration est immatérielle et neutre, perturbée parfois par quelques révoltes de mots éperdument blessés par des départs inaccoutumés ;
—> un robote ordonnateur se trouvera inopinément à réguler et gérer l’ensemble du racontement, après une déficience, sa réparation lui donnera des capacités involontairement transmises, inattendues, qu’en fera-t-il ?
—> Une force indéterminée semble… ou plutôt un déterminisme obstiné pousse chacun à alimenter la teneur de ce récitement **, quelques fois nous l’appellerons « la chose », d’autres parleront du « machin », du « truc », qui sait de sa matérialité ?
—> Les récits sont influencés fortement par tous les aléas du monde et son paysage, une forêt blessée en effet, apporte son secours à tous les rudiments du discours, il se pourrait bien que ce soit elle la génitrice principale de ce racontement ?
—> À détacher pour son énoncement, un petit chemin autrefois « magique », au-dedans de la forêt ; il formera le racontement du « deuxièmement », après avoir inspiré le scribe et toute une flopée d’holobiontes ; en marchant, la parole vient et elle sera préservée dans de petites machines enregistreuses…
—> Évidemment les oiseaux, ils sont présents presque tout le temps ! Il faudra traduire autant que possible, les chants, le discours, les atermoiements, la colère de ceux-là… Toutes les animalités aussi ; les invertébrés, les insectes, comme ce un papillon blanc avec quelques questionnements…
—> Oh ! Les arbres, bien entendu, comme toute plante sur son passage, la narration n’oublie pas la part partagée de tous les êtres : une même origine ; et par conséquent, à des degrés divers, une parenté !

—> N’est pas oubliée la part des êtres ayant une ubiquité terrestre prépondérante, les procaryotes ***, ils influencent évidemment fortement la teneur du récit ; ils en sont les moteurs essentiels puisqu’ils permettent aux holobiontes d’exister, ils en sont leurs cavaliers, ils les gèrent, les construisent, les soignent, les éduquent, les font digérer et les font parfois disparaître quand leurs développements expérimentaux ne permettent pas au règne de vivant de développer les outils nécessaires à sa symbiose ; dans ce cas précis, les procaryotes, aidés parfois de quelques agents viraux, font dépérir les espèces défectueuses, quand leurs processus vitaux perturbent trop l’essor symbiotique du vivant.

—> Sont relevées par moments les interactions propres de particules élémentaires nécessaires à la construction de tous ces vivants et la matière ; elles interagissent en effet et le font savoir dans des discours particulaires, aussi un atome crochu, parfois, apporte sa part d’hilarité. Tout cet ensemble de choses et d’êtres conserve au creux de leurs structures réciproques, des informations plus ou moins lisibles, elles sont à la source première du racontement de ce récit long par nécessité ! Comme les formants d’une musique, d’un chant irrésolu, en devenir…

Les récits peuvent être tirés : d’écritures manuscrites récentes ou anciennes des protagonistes ; de la voix, mémorisée en marchant à l’aide de la machine enregistreuse, que le robote ordonnateur transcrit ensuite ; ou encore dictés directement au robote, voire tapés par l’holobionte inspiré à l’aide du clavier à lettres fourni par le robote ; le moment des arrivages varie au gré des heures, du matin, tout le jour, le soir, dans la nuit, entre deux sommeils, au gré des rêves et des oublis, des ressassements et des envies…

Voilà ! De tout ça, l’on parle, ici !

* Ce « il » pourrait tout aussi bien être un « elle », le sexe de chacun est indéterminé (ou n’a pas de valeur prépondérante), on pourrait lire au féminin ou au masculin sans souci s’il existait dans cette langue un mode neutre (comme ce n’est pas le cas, l’on a fait au mieux).

** (récitement qui n’est qu’une bribe ajoutée à d’autres, plus anciennes, comme des nouvelles, elles viendront probablement s’y rattacher ensuite ?)

*** (les Bactéries, microbes, bacilles de toutes sortes, ainsi que les Archées)

(version 1)

Ce pourrait être le préambule ultime ?

À propos du comment et du pourquoi des indications temporelles, sur la venance des récits au creux de la tête et déversés ensuite de diverses manières :
Les récits sont inspirés ou viennent de la communauté des holobiontes terrestres (de l’animale et du végétal) et plus particulièrement de quelques-uns décrits dans l’ouvrage (ce sont des hominidés, le langage vient de la communauté séjournant dans la zone occidentale des peuplements hominidéens). D’abord, nous commencerons par :
—> le « il » du premièrement * (un hominidéen esseulé désirant extirper de sa mémoire ce qui lui est venu sans qu’il sache pourquoi) ;
—> un scribe (hominidéen aussi) recevra le discours de ce « il », et en élaborera le premier récit ;
—> quelques vieux singes (hominidéen, pareillement), savants ou non, parfois démunis et pauvres ; puis un vieux savant dans ses cheminements vous en dira tant ;
—> la narration est immatérielle et neutre, perturbée parfois par quelques révoltes de mots éperdument blessés par des départs inaccoutumés (émise à travers un lot de vibrations sonores qu’il faut capté sur l’instant, des codages de signes sur de fines pellicules de matière végétale, ou les mêmes signes apparaissant sur des panneaux lumineux, ou encore invisibles, dans des matières sous forme de rémanence magnétique, encore des états atomiques de particules élémentaires : tout cela formant un langage à décrypter)  ;
—> un robote ordonnateur se trouvera inopinément à réguler et gérer l’ensemble du racontement, après une déficience, sa réparation lui donnera des capacités involontairement transmises, inattendues, qu’en fera-t-il ?
—> Une force indéterminée semble… ou plutôt un déterminisme obstiné pousse chacun à alimenter la teneur de ce récitement **, quelques fois nous l’appellerons « la chose », d’autres parleront du « machin », du « truc », qui sait de sa matérialité (qu’en est-il de sa matérialité ou de son immanence) ?
—> Les récits sont influencés fortement par tous les aléas du monde et son paysage, une forêt blessée en effet, apporte son secours à tous les rudiments du discours, il se pourrait bien que ce soit elle la génitrice principale de ce racontement ?
—> À détacher pour son énoncement, un petit chemin, autrefois « magique » au dedans de la forêt, il formera le racontement du deuxièmement, après avoir inspiré le scribe et toute une flopée d’holobiontes ; en marchant, la parole vient et elle sera préservée dans de petites machines enregistreuses…
—> Évidemment les oiseaux, ils sont présents presque tout le temps ! Il faudra traduire autant que possible, les chants, le discours, les atermoiements, la colère de ceux-là… Toutes les animalités aussi ; les invertébrés, les insectes, comme ce un papillon blanc avec quelques questionnements…
—> Oh ! Les arbres, bien entendu, comme toute plante sur son passage, la narration n’oublie pas la part partagée de tous les êtres : une même origine ; et par conséquent, à des degrés divers, une parenté !

—> N’est pas oubliée la part des êtres ayant une ubiquité terrestre prépondérante, les procaryotes ***, ils influencent évidemment fortement la teneur du récit ; ils en sont les moteurs essentiels puisqu’ils permettent aux holobiontes d’exister, ils en sont leurs cavaliers, ils les gèrent, les construisent, les soignent, les éduquent, les font digérer et les font parfois disparaitre quand leurs développements expérimentaux ne permettent pas au règne de vivant de développer les outils nécessaires à sa symbiose ; dans ce cas précis, les procaryotes, aidés parfois de quelques agents viraux, font dépérir les espèces défectueuses, quand leurs processus vitaux perturbent trop l’essor symbiotique du vivant.

—> Sont relevées par moment les interactions propres de particules élémentaires nécessaires à la construction de tous ces vivants et la matière ; elles interagissent en effet et le font savoir dans des discours particulaires, aussi un atome crochu, parfois, apporte sa part d’hilarité. Tout cet ensemble de choses et d’êtres conserve au creux de leurs structures réciproques, des informations plus ou moins lisibles, elles sont à la source première du racontement de ce récit long par nécessité ! Comme les formants d’une musique, d’un chant irrésolu, en devenir…

Les récits peuvent être tirés : d’écritures manuscrites récentes ou anciennes des protagonistes ; de la voix, mémorisée en marchant à l’aide de la machine enregistreuse, que le robote ordonnateur transcrit ensuite ; ou encore dictés directement au robote, voire tapés par l’holobionte inspiré à l’aide du clavier à lettres fourni par le robote ; le moment des arrivages varie au gré des heures, du matin, tout le jour, le soir, dans la nuit, entre deux sommeils, au gré des rêves et des oublis, des ressassements et des envies…

Voilà ! De tout ça, l’on parle, ici !

* Ce « il » pourrait tout aussi bien être un « elle », le sexe de chacun est indéterminé (ou n’a pas de valeur prépondérante), on pourrait lire au féminin ou au masculin sans souci s’il existait dans cette langue un mode neutre (comme ce n’est pas le cas, l’on a fait au mieux).

** (récitement qui n’est qu’une bribe ajoutée à d’autres, plus anciennes, comme des nouvelles viendront probablement s’y rattacher ensuite ?)

*** (les Bactéries, microbes, bacilles de toutes sortes, ainsi que les Archées)