(texte manuscrit – le 14 juin 2020 à 1h)
—> ajoutements, autour et sur le récit, début ? Interrogation, note

Exergue :
Cette écriture n’appartient pas, elle est autant la vôtre, qu’à celui qui la déposa sur ces pages. L’auteur (en effet) est multiple, mais on peut approximativement le résumer en ces quelques lettres ou mots : c’est la source de toute existence, notre biologie de vivant, l’auteur de tout ceci ! Oui, évidemment, l’auteur n’est autre que la vie, celle qui s’insuffle en vous et vous anime, vous l’aurez certainement compris ?

(Retrouver informations à propos du film québécois de 2012 « tout ce que tu possèdes »)
« L’histoire : Pierre Leduc est professeur de littérature dans une université québécoise. Désespérant du monde et de ses étudiants, Pierre décide de tout lâcher et de se réfugier dans la traduction à temps plein des œuvres de Edward Stachura, poète polonais qu’il admire. S’abandonnant dans une mélancolie de plus en plus profonde, Pierre est bientôt sorti de sa torpeur par l’annonce de la mort imminente de son père, un riche investisseur immobilier. Atteint d’un cancer incurable, ce dernier demande à Pierre de prendre sa succession et de recevoir de ce fait un héritage de plus de 50 millions. Mais Pierre refuse, car l’argent en question a été mal acquis. Son père mourra sans avoir réussi à le convaincre.
« Peu après, une adolescente frappe à sa porte : c’est Adèle, la fille de Pierre, dont il avait abandonné la mère lorsqu’elle était enceinte. Pierre nie sa paternité, mais Adèle finira par avoir raison de lui. Au fil des jours, le contact avec la jeune fille redonnera à Pierre le goût de vivre… »

Note : La lâcheté des hommes et la peur de l’engagement. La réalité terre à terre des femmes, elles assument et enfantent, malgré le mal-être, une génétique nous pousse à des amours impossibles et irrésolus…

(texte manuscrit – début juin 2020, vers le 15 juin)
—> ajoutements, tragicomédies

Dialogue, à la question :
On m’accuse, mais qu’ai-je fait ?
Attendez, nous allons vérifier la cause de cette accusation… Effectivement ! Un dossier existe bien à ce propos, l’on a écrit au sujet de vous… Voyons voir ce qui est écrit ?
Alors ?
Permettez que je lise plus avant… oui, l’on vous accuse bien !
Mais de quoi ?
De quoi l’on vous accuse ?
Oui !
Eh bien… voyons voir, quoi quoi quoi ?… Oui ! Voilà ! Vous êtes accusé « de vivre ! »
De vivre ?
Oui !
Je vis, donc ?
Il se pourrait bien, puisque vous me parlez… c’est cela « vivre », entre autres…
Mais vous aussi, vous visez bien vous aussi, il y a de la vie en vous…
En effet ! Je vis comme vous, mais l’on ne m’a pas accusé du fait ! Vous, par contre, c’est un fait, dont vous êtes accusé !
Et comment je dois comprendre cela ?
Comme vous voudrez !
Je suis accusé de vivre, et l’on va me condamner pour cela ?
Euh ? Voyons voir… Oui ! une condamnation a été promulguée !
Et ?
Euh… vous êtes condamné à « mourir », à mourir à force de vivre, l’on meurt ! C’est écrit ici ! (Il lui montre la sentence)
Mais… vous aussi, vous mourez un jour, comme moi ?
Oui, peut-être, mais je n’ai pas été condamné, moi !
Pas une autre peine ?
Euh ? Je lis, tatata… non ! « Mourir », c’est tout !
Il y a une date, pour la mort ?
Ah ! Euh… je vois rien là-dessus. Probablement, quand vous aurez trop vécu, vous mourrez ! C’est déjà pas mal comme diagnostic ?
Mais, c’est idiot ce jugement ?
Oh ! Vous savez, moi, je ne fais qu’enregistrer les actes, les sentences, les procès-verbaux et tutti quanti !
Je suis condamné à cause de mon existence ? (Alors, pourquoi m’avoir fait naître, dans ce cas ?)
Euh ! Vous savez, je crois, bien que vous n’ayez pas le choix ; là, à force de vivre votre assemblage va s’user et l’usure apporte un dépérissement, une dislocation ensuite, et des recomposements après ; c’est très commun tout ça. La seule chose qui reste, ce sont vos traces, et les mémoires d’une souvenance de vous et de vos agissements ; à celle-là il n’existe qu’une alternative : l’oubli, ou la souvenance, et toutes ses remembrances dans une variation inexorable, l’interprétation de ces traces à votre avantage ou à votre détriment, c’est selon…
J’ai rien compris à ce que vous me dîtes. Vous devez utiliser des mots inadéquats, je m’égare dans vos propos ?
Mais non ! C’est inscrit, là, voyez ! (Il lui montre)
Oui, mais c’est votre interprétation, ça ! Ce n’est pas la mienne…
Je ne fais que lire ce qu’il me vient à dire ! J’ai aussi une mémoire à déverser, nous varions sur ce point, le monde est multiple et les points de vue s’ajoutent et se ressemblent, ils cohabitent. Vous devrez traduire, toujours traduire ! Voulez-vous un interprète, un traducteur, un convertisseur, un transducteur, un pont, une passerelle, un lien ?… La machine peut vous aider, appuyez sur le bouton des demandes pour qu’elle vous réplique !…
Que voulez-vous que je demande : une révision du verdict imposé ?

(ajout)
Que je meure demain, inexorablement c’est certain ? Non, ce n’est pas cela, c’est la condamnation qui m’insupporte ! Pourquoi vivre, si c’est pour mourir ensuite ? En disant cela, je le sais bien, j’élude une partie de la question, j’omets un propos plus savant, un propos (que tiendrait des philosophes) de philosophes évidemment. Enfin, quoi, qui peut répondre à cette question quand on ne possède pas tous les éléments pour y répondre ? Nous ne naissons pas par le désir de nous-mêmes, mais par une volonté extérieure à ceux qui nous ont engendrés, nos parents biologiques, eux-mêmes furent soumis à la même logique, noyée comme chacun dans une mouvance qui nous dépasse tous. Condamné oui ! à vivre, d’accord, et puis s’en aller ensuite, que l’on soit d’accord ou non c’est du pareil au même, la vie est un éternel recommencement, on ne sait guère quand cela commença ni comment cela se terminera ? Nous ne faisons que changer de forme avec les mêmes briques, avec les mêmes éléments nous occupons des espaces à chaque fois tous différents, en taille, en petits ou en grand, c’est du pareil au même, condamné à vivre, oui ! Et puis après, quand tu changes de forme, ton esprit, que devient-il, lui ? (il meure avec, se transforme aussi, qu’en sait-on ?)

(texte manuscrit – le 15 juin 2020 à 20h05)
—> 3e [philosophia vitae] [considérations philosophiques] expérimentation, politique animale

Quand on voit comment les gens qui prétendent diriger le monde terrestre, agissent, ces milliardaires, tyrans, fanatiques ou autres, il ne faudrait mieux pas qu’une entité extraterrestre nous rencontre, la visite risquerait d’être « chaude ! » (version : Quand on voit agir ces gens prétendant diriger le monde terrestre, ces milliardaires, tyrans, fanatiques ou autres, il ne faudrait mieux pas qu’une entité extraterrestre nous rencontre, la visite risquerait d’être « agitée ! »)
Supposons qu’il existe des entités de l’ordre du vivant ailleurs qu’ici ? Rien ne nous dit qu’ils seraient analogues à ceux de notre monde ni se trouvent à une échelle similaire à la nôtre ; seraient-ils plus petits ou plus grands, invisibles ou visibles à nos sens ? S’il existe des univers parallèles et qu’ils y habitent, pourront-ils communiquer avec nous, si « communiquer » représente quelque chose pour eux ? Peut-être sont-ils déjà là depuis longtemps, et comme nous ne les percevons pas…
Le mot « extraterrestre » en fait, n’a pas vraiment de sens si nous regardons le comportement de la matière, les mouvements de cet univers ; un astre quelconque, une planète, est constitué d’éléments formés à travers l’univers lui-même, de la formation des étoiles à leurs disparitions, à travers diverses explosions de type supernovæ, agite et compose des particules en mouvement ; à cause de cela, des agglomérats sur des comètes, des météorites, des corps célestes de toutes sortes, tout ce monde-là est « extraterrestre » autant que terrestre, puisque la terre n’est formée que de cela ! Notre monde local, ici, est formé des briques de cet univers. La terre comme toutes les planètes de ce Système solaire sont formées à partir de ces agglomérats de matières, formées au fil du temps un peu partout de la même manière dans ce vaste milieu cosmique. Nos briques sont donc toutes extraterrestres et la terre l’est autant, extraterrestre devenu terrestre ; ce mot « extraterrestre » ne veut en fait rien dire, tout est lié ! Il n’y a pas de dedans et de dehors, il y a un tout (c’est comme ça que c’est compris, aujourd’hui) ; et dans ce tout, il se trouve un dedans où nous surnageons.
Donc, ce mot, si l’on considère ce qui vient d’être dit, en effet, ne veut rien dire « en soi ». Nous sommes par défaut constitué de choses extraterrestres, tout comme en ce moment, le cosmos nous bombarde de rayonnements divers, comme le soleil de sa lumière et du reste, rayonnements de tous ordres, invisibles, et… « extraterrestres ! »
La terre, tout comme nous, n’est pas un monde en dehors de cet univers, elle se situe « dedans », tout comme la vie où nous croyons en être les plus dignes représentants, on oublie un peu trop vite (en disant cela) les autres vivants, ceux nous construisant, procaryotes de tous ordres agencent les êtres multicellulaires qu’ils dirigent, cellule vivante par cellule vivante, aux commandes de chacune d’elles pour former le simple holobionte que nous sommes, parmi d’autres, une multitude d’autres, semblables et dissemblables, mais tous complémentaires, par nécessité, ce que notre lignée tend à oublier trop souvent…
Il faut considérer le vivant dans son entier ! Si ça se trouve, les bactéries seraient d’origine « extraterrestres », elles nous domestiquent déjà depuis longtemps, assurément ! Regardez la génétique de notre organisme, elle ne cesse depuis des décennies de leurrer les êtres multicellulaires. Nous sommes bien une expérience en cours et l’on nous le fait comprendre peu à peu, à la mesure de notre entendement. Peu d’entre nous ne semblent pas prêts à accepter ce postulat, « de ne pas être les maîtres des lieux » leur apparaît insupportable, c’est risible ! Tout cela n’est que manipulation de l’esprit, manipulation génétique, essentiellement : l’expérience est en cours, on expérimente le discours.
Non ! tout ce qui nous compose ou nous forme, tout comme notre milieu est composé d’éléments de provenance « extraterrestre », alors cette appartenance d’un en dehors du lieu où nous émergeons est une vue de l’esprit, nous sommes composés des briques d’un univers, et nous sommes une partie infime de ce même univers, il n’y a pas d’en dehors connue ni perçue, il n’y a pas de certitude sur ce point, même l’esprit, l’âme, semble agir à la lisière de deux mondes, le matériel et l’immatériel, la matière et la mémoire d’une souvenance, cette information sans autres repères que des signes à déchiffrer.
Dans ce cas, ce qui anime le vivant a bien raison de laisser ce leurre agir. Nous ne sommes pas près d’atteindre les prémisses de cette perception « universelle » ou « totale ». Qu’elle reste donc « fausse », ou, disons-le plutôt différemment, qu’elles nous apparaissent indiscernables, pour nous préserver d’un désastre, celui de notre bêtise !
Non ! Nous ne sommes pas encore prêts à ce que l’on nous dévoile les plans du secret, les plans de fabrique au complet.

(texte manuscrit – 17 juin 2020 à 10h13)

—> (prologue petit chemin et philosophia vitae)

(prologue petit chemin et philosophia vitae)
Oh ! Il eut bien ses cours au creux de quelques prétoires (amphithéâtres ou scènes) occasionnels, qu’il donnait (délivrait) à l’emporte-pièce pour adouber ceux voulant l’entendre critiquer les attitudes de l’espèce hominidéenne que nous sommes, mais la plupart du temps cela se passait au creux de la forêt, en passant par son petit chemin souvent. C’était le meilleur endroit de (offert à ses) ces vociférations. D’ailleurs, on y croisait moult gens, du plus pressé au plus lent : limaces, fourmis, oiseaux, mycètes, crapauds, bactériophages en tous genres, milliards de bactéries (les atténuant), des virus latents attendant leur tour pour proliférer un temps… beaucoup de gens ! (même quelques hominidés bûcheronnant avec excès souvent les formes ligneuses, pour emmagasiner du bois à tout bout de champ, sans mérite, d’un air nonchalant), même des jeunesses, étudiant du sol, ses gens, au dedans ; gens de tous bords, dans la forêt et aux abords, et aussi le vent, sur les cimes, en grand…
Au creux, au dedans, la forêt apportait de quoi revivifier, renaître à chaque moment, se repaître du temps de ses origines, retrouver la trace que l’on imagine, du temps des peintures rupestres au creux des grottes, sous la terre ou en haut des arbres, observer comme l’oiseau, le monde tel qu’il est ni beau ni laid. Tout cela accompagnait les marcheurs, les imprégnait d’un vent odorant, d’une rumeur ancestrale, le temps d’un déplacement (entendre vous dire) : « quelle était donc la voix des ancêtres ? » ; ce questionnement, pour réapprendre cette mémoire oubliée, à force d’aller trop vite (à force, l’on allait de plus en plus vite). Il faudrait (il aurait été nécessaire de) dormir quelques nuits sous un arbre, écouter le son de la forêt, avoir peur comme avant et reconstruire des cahutes pour se protéger, avec les moyens du bord, rester à de sommaires bâtisses faites des matériaux trouvés localement. Se contenter de peu, goûter à nouveau à une vie humble, la comparer à celle de maintenant, établir des comparaisons sommaires (rudimentaires), ne pas conclure et laisser mûrir dans une mémoire préserver. Voilà l’objet de tous ces cheminements. Oui ! Dedans, autour et sur les chemins, vous y rencontrerez beaucoup de gens ! (Il suffirait de se prêter à quelques attentions inaccoutumées, une patience envers les différences, prendre le temps de les observer, le temps d’entendre, écouter jusqu’à s’y méprendre…)
Oh ! Bien vite la leçon n’en était plus une, mais une multitude d’entendements au creux de la forêt et beaucoup d’égarement ; l’enseignement se réalisait automatiquement, il suffisait d’être à l’écoute au dedans d’elle (somme toute). Chacun y trouvait son compte, du moment que vous n’arriviez pas en vainqueur, en terre conquise, et laissiez vos accaparements au repos. Arrêter de décider à la place des « autres » sous prétexte de leur amoindrissement décider naguère (souvenez-vous, votre croyance vous mettait au-dessus de tout tels des maîtres déposés là par un Dieu quelconque) ; savoir, apprendre à se remettre en cause, reconsidérer la chose, oser le détour là où vous n’y êtes jamais allé, apprendre l’insignifiance de son prétendu règne, etc., etc.

(texte manuscrit – 22 juin 2020 vers 1h)
—> ajoutements, autour et sur le récit,

Note : pour les derniers récits, en fin de compte, laisser ceux-ci tels quels sans modifier, mais établir un dialogue temporel avec eux, une critique des erreurs éventuelles ou des évolutions de sens (que l’on aurait constatées ; usé de cette variation immuable qui ne cesse de nous accaparer), etc., etc.

(texte manuscrit – après le 22 juin 2020)
—> 3e [philosophia vitae]

Enveloppes ! Énumérations :

Le corps, une enveloppe, une boîte…
la cellule vivante, une enveloppe, une boîte…
chaque organe, une enveloppe, une boîte…
chaque atome, une enveloppe, une boîte… les particules élémentaires, une enveloppe, une boîte…
Des assemblages momentanés qui au fil du temps vont s’altérer, se disloquer, se désassembler, se réassembler en variant tout le temps, des formes nouvelles expérimentées pour voir comment ça fait un tel assemblage et tester sa solidité, sa permanence ; tenter l’expérience, et comme le vivant obéissant à ce principe est lui-même une expérience, celle d’une mouvance, construite sur un même moule défini par un plan de fabrique aux subtilités encore inconnues et dont on n’en décèle à peine les prémisses : nous sera-t-il dévoilé complètement ce plan permettant notre construction ? Est-ce bien nécessaire ? Et si oui, comment réagiront certains d’entre nous, en s’appropriant ce secret, le dévoilant à peine que l’on naisse, ou le cachant avec de la peine pour avoir la paix !

(texte manuscrit – 29 juin 2020 à 17h38)
—> 3e 4e [du robote à la chose] [webosité] rapine webeuse

Sur la chose webeuse
Trouver les pages vertueuses sur ces réseautages webeux, relève parfois du parcours du combattant, de la cause, demandant un anonymat constant et exemplaire – c’est tout le contraire, justement !
Ils vous inondent de questionnements sourds, votre machine électronisée est assaillie de demandes curieuses, elle répond comme elle peut, la faille… Que dis-je ! La moindre faille est exploitée à votre encontre, l’on pille votre machine communiqueuse, on la déleste de tout ce que l’on peut, des informations de tous ordres ; la machine à vous n’a plus de secrets, elle délivre tout !… Sur vous, elle sait tout et le livre à eux, les filous de la chose Webeuse, les réseautages en grand, ou tout le monde est pillé, en grand ! Vous avez des bavarderies de gens au-dedans, l’on ausculte la moindre parole, la moindre image, le moindre vidéogramme, ils sont tous épluchés, décortiqués, en grand ! Aucun secret, vous dis-je !
(Et un peu plus tard, il ajoute)
Ils vivent sur la statistique, sur le flicage du moindre « clic » sur des boutons en forme de liens, pour vous relier à des robotes construits pour calculer la moindre information de vos agissements, recensés, collectés, classés, ordonnancés selon des critères « exclusifs », uniquement pour un commerce, la vente des informations vous concernant pour de la propagande, de la politique et des idées marchandes…
Derrière, des petites personnes, gente ouvrière destinée à vous vendre un produit, quel qu’il soit, pour vous amadouer, vous embobiner, vous faire acheter, dans un conditionnement constant, celui de la tentation et des gourmandises illusoires, vous voilà flatté et vous déversez tout votre sou dans un entonnoir où l’on déverse tout ! De la pure propagande, à des fins certainement pas vertueuses. Ils sont sur une autre planète, ils ignorent la plupart des vivants dans ce côtoiement avec la chose électronisée, comme une drogue voulant tout attrapait sur son passage, elle rameute le moindre quidam, juste pour la lui enlever ce qu’il lui reste d’âme, sa liberté de penser et d’agir ; la lui voler, son âme, et le rendre esclave, le revendre, son esclavage, à l’aide d’un boulot, d’un dodo, d’un rodéo où il n’a pas le choix, n’a plus le choix, une prison à la merci d’une bêtise sans nom, pour qu’il ignore et ne sache jamais son véritable nom, sa véritable origine et qu’il comprenne comment on le berne ! (Oui, tout est fait pour qu’il ignore sa véritable prison)…

(entendu quelque part)

« Il n’y a pas de nature »
ou
« la nature n’existe pas, ça n’existe pas… »