(texte manuscrit – 7 août 2020 vers 13h)
—> ilem, préalable, livre des préalables, le processus
Le processus des préalables est un univers en soi : il prélude à un ou des commencements !
S’il revient sans cesse dans les tentatives de racontements, c’est qu’il veut jouer un rôle, comme un avocat tentant de disculper l’accusé qu’il défend. Mais accusé de quoi ? Ces préalables tentent de remonter aux sources, non pas forcément d’un drame dont on serait coupable, mais aux sources d’une genèse, ce qui prélude au décor. Il devient par conséquent un acteur inévitable, il fallait donc accepter sa présence, même si elle déborde et exaspère, laissez faire ! Tant que cela parle et remonte aux sources, toujours plus en amont, le discours, dans ce cas, semble salutaire, porteur de sens : on remonte à l’envers du récitement en tentant de mettre au début les prémisses des commencements. L’écriture de ce récitement, place donc les dernières écritures au début, et les premiers discours seront-ils mis à la fin ? C’est une écriture qui tente de remonter le temps, comment (on ne sait pas) voir autrement ?