(paroles du matin – 4 oct. 2020 à 9h03)

—> 3. « singes savants », philosophia vitae :
—> durée : 16’26

—> difficile d’isoler ce récit, des précédents, il fait suite à des résonnements préalables, qu’il conviendrait de lire avant (tenter de renvoyer vers les récits antérieurs correspondants).

(Parole sous influence. Pendant son discours, près de lui sur un arbre perché, sans qu’il en prenne conscience tout de suite, un oiseau arrive et piaille, avec des « tsii tsii » bien placés, comme une ponctuation offerte à son récit du matin ; d’autre part, la fenêtre ouverte de son logis laisse entrer quelques senteurs matinales, rafraîchissant l’air et ses idées, tout cela lui apportant un langage que son inconscient va transcrire, se fondant dans sa parole, saupoudrée par petites touches, ou l’humecter d’une pluie légère ; il voudrait qu’elle soit dénuée d’œillères, sa parlotte obstinée, ce matin, est revenue le taquiner ; peut-être, à cause d’un vent, celui tournant tout autour de la terre lui apporte des rumeurs, à lui comme à d’autres, les rumeurs d’un mouvement inexorable, un changement… dans un drôle d’air…)

Ah ! Cette sempiternelle chanson qu’ils ont à affirmer sans gêne, sans preuve aucune, imbus qu’ils sont (d’eux-mêmes), à affirmer que de tous les animaux de la terre, ils sont les seuls à avoir un langage, une âme, une parole, de cette sorte-là (un logos !). Oh, vous allez dire que je mélange un peu tout, mais… oh, à y regarder de plus près, je vois bien qu’ils se trompent énormément, comme l’éléphant avec sa trompe, justement, elle est là toute l’erreur qu’ils ont du monde les environnants. Notre part est si infime, nous sommes tellement habités, tellement construits d’une multitude, qu’il m’est impossible, par de bonnes raisons de cette sorte, de considérer que nous sommes les seuls à exprimer une telle intelligence, un tel langage, une telle parole. Chaque être, chaque espèce, exprime ce qu’ils sont, communiquent avec les autres de diverses manières ; regarder les fourmis, vous imaginez qu’elles ne puissent discuter entre elles, à travers un langage qui leur est (aussi) propre que vous, comme les oiseaux ou les abeilles ? Ce n’est pas parce qu’elles ne construisent pas des engins, des machineries telles que nous le faisons, qu’elles n’ont pas une intelligence ? Enfin ! Qu’elles ne font pas de mathématiques ? Qu’en savons-nous de leurs différences, pas grand-chose ? Nous ne vivons à leur contact que de… d’une… nous ne vivons à leur contact que d’une façon éphémère, tellement peu de temps (dans des études ponctuelles) qu’on ne peut les connaître suffisamment *. Non, quand je les vois, à exprimer leur pathos de cette manière (mes semblables), je ris au fond de moi, avec beaucoup d’entrain, et j’y ajoute une ironie ou deux (des « tsii tsii » au loin, l’oiseau du coin se rapproche, pour écouter jacasser l’hominidéen), à corriger leurs proses nauséabondes. Ils parlent de logos (dans) cette parole, mais l’instruction d’un savoir, il est (existe) mille et une manières de le transposer, eh, le vivant depuis très longtemps, le fait en de diverses manières avec chaque être, à travers les vibrations sonores, certes, mais une chimie, les phéromones, les traces laissées, les gestes, les mouvements ; il est (existe) mille et une manières de s’exprimer, et nous ne connaissons que le langage qui nous est propre, tout comme tout être vivant ne connaît que ce pour quoi il a été construit (semble-t-il ?) ! Nous, ce n’est pas parce que nous construisions des bombes atomiques qu’il faut se considérer comme des êtres supérieurs (l’oiseau se penche auprès de la fenêtre, « tsii… tsii tsii »). C’est infernal enfin (« tsii tsii »), cette supériorité (« tsii tsii ») prétendue est risible ! (« tsii tsii… tsii tsii tsii tsii… tsii tsii tsii ») Nous surnageons dans une entité, que… notre corps… une entité que nous ne contrôlons guère, devrions-nous le rappeler encore ? Nous sommes si peu constitués d’une véritable part qu’on pourrait affirmer de nous-mêmes si infime au-dedans de nous, que l’essentiel de notre être, il faut encore le dire, est constitué d’êtres nous habitant, ces bactéries infimes, ces procaryotes. Enfin, je le répète, je me redis (« tsii »), comme d’autres (avant moi) aussi l’affirment, c’est ce que notre genre a (ont) découvert (« tsii »), notre genre… (« tsii tsii ») pas nous-mêmes, moi, l’entité qui parle en ce moment, non ! (« tsii ») le genre global (« tsii tsii tsii ») de notre être, l’entité, toute la communauté des huma… des humanoïdes, des hominidés que nous sommes, considère les choses ainsi, ou du moins (« tsii tsii ») ceux dits intellectuels (s’étant penchés sur la question, des étudiants du vivant) (« tsii tsii tsii »), alors que les choses (« tsii tsii ») sont plus subtiles (« tsii ») ; ils sont leurrés eux-mêmes (« tsii tsii »), tellement ils sont imbus de leur personne (à préconiser leur supériorité absolue), ils vivent dans un leurre immense, eh (« tsii »), dans cette gymnastique de l’esprit, en écrivent des livres et des parlottes inutiles (« tsii tsii tsii ») à mon sens. Mais « je m’égare », diront-ils, je confonds tout (des « tsii tsii » lassé, l’oiseau s’envole, ennuyé par cette parole) ! Réfléchissez un peu, allons ! Je ne prétends à aucune vérité, mais… à affirmer notre supériorité, nous l’espèce à deux pattes, c’est bien trop s’avancer ; nous sommes construits d’une multitude, qui nous leurre en permanence ; ça, c’est ce que je perçois, euh, je ne m’en vexe pas, non, mais je constate, eh eh… un fait ! Et c’est pas parce que nous sommes (constitué d’une) multitude, que ce qui reste véritablement, de ce (cette carcasse) prétendument de nous, soit supérieure aux… aux autres, à ceux qui nous construisent et nous font digérer tous les jours, en permanence. Nous ne sommes que l’habitant d’un corps momentané ; il est probable que ce que l’on appelle l’âme subsiste dans un territoire insoupçonné ? Nous parlons d’un cerveau, certes, il n’est que le lien avec ce territoire, et cette âme n’est pas proprement hominidéenne propre à l’holobionte que nous sommes, non, elle subsiste de diverses manières à mon sens, dans tous les êtres ; même le simple ver de terre, il n’a qu’une âme de vers de terre, et c’était déjà beaucoup. Sans lui, vos terres ne seraient pas cultivables, d’ailleurs, si elles sont stériles, elles produisent une nourriture inadéquate, pestilentielle, moribonde. C’est ce qui se passe, vérifiez ! Certains le disent, honnêtement ils le constatent, vos terres cultivées sont pourries, la plupart, dans vos cultures intensives, pourries de pesticides… Cela n’est pas (venue) d’une intelligence supérieure, c’est un égarement de ceux qui nous construisent et nous maintiennent. J’ai du mal à dire (concevoir) notre indépendance, à la question ? Nous sommes tellement une multitude, tellement habités, que l’erreur est globale en ce qui nous concerne, de vivants que nous sommes, cette association s’égare ! Mais apparemment, il faut que nous testions cet égarement jusqu’au bout, jusqu’à faire disparaisse… jusqu’à faire disparaître notre propre espèce, à constater que ce maintien d’une folie telle que la nôtre ne se peut éternellement, il faut (nous devrons bien) passer à autre chose à un moment ou un autre, voilà toute la question. Ou, changer l’holobionte, le transformer, le construire différemment, explorer d’autres voies, d’autres égarements, et peut-être là (l’oiseau, en repassant, lâche un « tsii » interrogatif, puis s’endort), y trouver un salut, nous dirions, une nouvelle voie, une multitude de nouvelles voies, nous apportant un bienfait plus qu’un méfait. Oh, moi, dans toute cette multitude (de ce) qui me construit, si j’en viens à dire tout cela, ce peut être un égarement de ma propre tête, de ma propre imagination, qui me vient là, mais regardez autour de vous ; je n’ai pas l’impression de m’égarer autant qu’on pourrait le dire ; même si je (j’en) vexe certains imbus de leur supériorité dans leurs egos coutumiers, je rabaisse le (au) moins… le mien, mon ego à moi, à un minimum vital qui me suffit amplement, « ils feraient bien d’en faire autant ! », c’est que je me dis au fond de moi, mais pfft, laissez-les faire, laissez-les aller jusqu’au bout de leur égarement ! Jusqu’au bout, ils verront bien jusqu’où on peut se tromper, s’égarer, oui… Moi-même, je m’égare probablement ? Eh, je garde une lucidité qui m’est propre, qui m’apaise. Je suis dans un leurre différent, eh, ce leurre, ce solutionnement momentané que je donne aux choses que je comprends, ou crois comprendre, je reste dans cette spécificité qui nous est propre, a priori, de croire momentanément à des choses, pour apaiser notre esprit ; nous fonctionnons… car nous fonctionnons de la sorte, il faut bien l’accepter ainsi, nous sommes des êtres « croyants », quoi qu’on en dise, et nous avançons ainsi pour domestiquer notre apaisement, cela fait partie, disent les savants, de notre « homéostasie », je veux bien le « croire » ainsi ! Vous voyez, j’utilise encore sciemment le mot ! De « croyance », elle prend toute forme, eh, d’une science, d’un savoir, il est une croyance momentanée, même si elle s’appuie sur des faits constatés, c’est un apaisement momentané d’une connaissance nous venant, qui s’affine au fil des années, ce n’est que ça, ce n’est que ça…

Sortie de ma tête, tel jour, à telle heure, à tel moment…

* Leur évolution, tout comme la nôtre en est au même point, le fruit de milliards d’ans, le vivant ne cesse d’échanger de l’information, à notre insu, la multitude nous habitant n’a jamais cessé de le faire ; ajouté à cela, ce que l’on digère, les fruits de la terre, dont nous nous nourrissons pour survivre. Chaque molécule d’un être que nous absorbons nous transmet, sans que nous nous en apercevions, une part de son histoire. La pensée, au-dedans de notre être, ne représente qu’une surface ténue du savoir acquis par notre forme ; nous en ignorons l’essentiel, la part du vivant en nous ne nous dévoile pas tout !

(version) (à terminer)
Ah ! Cette sempiternelle chanson qu’ils ont à affirmer sans gêne, sans preuve aucune, imbus d’eux-mêmes, à affirmer que de tous les animaux de la terre, ils sont les seuls à avoir un langage, une âme, une parole, de cette sorte-là (un logos !). Oh, vous allez dire que je mélange un peu tout, mais… oh, à y regarder de plus près, je vois bien qu’ils se trompent énormément, comme l’éléphant avec sa trompe, justement elle réside là l’erreur, dans ce qu’ils s’imaginent du monde les environnants. Notre part est si infime, nous sommes tellement habités, tellement construits d’une multitude, qu’il m’est impossible, par de bonnes raisons de cette sorte, de considérer que nous sommes les seuls à exprimer une telle intelligence, un tel langage, une telle parole. Chaque être, chaque espèce, exprime ce qu’ils sont, communiquent avec les autres de diverses manières ; regarder les fourmis, vous imaginez qu’elles ne puissent discuter entre elles, à travers un langage qui leur est (aussi) propre que vous, comme les oiseaux ou les abeilles ? Ce n’est pas parce qu’elles ne construisent pas des engins, des machineries telles que nous le faisons, qu’elles n’ont pas une intelligence ? Enfin ! Qu’elles ne font pas de mathématiques ? Qu’en savons-nous de leurs différences, pas grand-chose ? Nous ne vivons à leur contact que de… d’une… nous ne vivons à leur contact que d’une façon éphémère, tellement peu de temps (dans des études ponctuelles) qu’on ne peut les connaître suffisamment *. Non, quand je les vois, à exprimer leur pathos de cette manière (mes semblables), je ris au fond de moi, avec beaucoup d’entrain, et j’y ajoute une ironie ou deux (des « tsii tsii » au loin, l’oiseau du coin se rapproche, pour écouter jacasser l’hominidéen) à tenter de corriger leurs proses nauséabondes. Ils parlent de logos, cette parole, mais à l’apprentissage d’un savoir, il existe mille et une manières de le transposer, et le vivant, depuis très longtemps le réalise de diverses manières avec chaque être, à travers les vibrations sonores, certes, mais une chimie, les phéromones, les traces laissées, les gestes, les mouvements ; il est (existe) mille et une manières de s’exprimer, et nous ne connaissons que le langage qui nous est propre, tout comme tout être vivant ne connaît que ce pour quoi il a été construit (semble-t-il ?) ! Nous, ce n’est pas parce que nous construisions des bombes atomiques qu’il faut se considérer comme des êtres supérieurs (l’oiseau se penche auprès de la fenêtre, « tsii… tsii tsii »). C’est infernal enfin (« tsii tsii »), cette supériorité (« tsii tsii ») prétendue est risible ! (« tsii tsii… tsii tsii tsii tsii… tsii tsii tsii ») Nous surnageons dans une entité, que… notre corps… une entité que nous ne contrôlons guère, devrions-nous le rappeler encore ? Nous sommes si peu constitués d’une véritable part qu’on pourrait affirmer représenter nous-mêmes, c’est si infime au-dedans de nous, que l’essentiel de notre être, il faut encore le dire, est constitué d’êtres nous habitant, ces bactéries infimes, ces procaryotes. Enfin, je le répète, je me redis (« tsii »), comme d’autres (avant moi) aussi l’affirment, c’est ce que notre genre a (ont) découvert (« tsii »), notre genre… (« tsii tsii ») pas nous-mêmes, moi, l’entité qui parle en ce moment, non ! (« tsii ») le genre global (« tsii tsii tsii ») de notre être, l’entité, toute la communauté des huma… des humanoïdes, des hominidés que nous sommes, considère les choses ainsi, ou du moins (« tsii tsii ») ceux dits intellectuels (s’étant penchés sur la question, des étudiants du vivant) (« tsii tsii tsii »), alors que les choses (« tsii tsii ») sont plus subtiles (« tsii ») ; ils sont leurrés eux-mêmes (« tsii tsii »), tellement ils sont imbus de leur personne (à préconiser leur supériorité absolue), ils vivent dans un leurre immense, eh (« tsii »), dans cette gymnastique de l’esprit, en écrivent des livres et des parlottes inutiles (« tsii tsii tsii ») à mon sens. Mais « je m’égare », diront-ils, je confonds tout (des « tsii tsii » lassé, l’oiseau s’envole, ennuyé par cette parole) ! Réfléchissez un peu, allons ! Je ne prétends à aucune vérité, mais… à affirmer notre supériorité, nous l’espèce à deux pattes, c’est bien trop s’avancer ; nous sommes construits d’une multitude, qui nous leurre en permanence ; ça, c’est ce que je perçois, euh, je ne m’en vexe pas, non, mais je constate, eh eh… un fait ! Eh puis, ce n’est pas parce que nous sommes constitués, pour l’essentiel, d’une multitude, que les dix pour cent de molécules restantes incarnent seules véritablement cette carcasse prétendument nous former, et deviennent (par le Saint-Esprit ?) supérieure aux autres, celles qui nous construisent véritablement, nous font digérer tous les jours, en permanence. Nous ne sommes que l’habitant d’un corps (multicellulaire) momentané ; il est probable que ce que l’on appelle l’âme subsiste dans un territoire insoupçonné ? Nous parlons d’un cerveau, certes, il n’est que le lien avec ce territoire, et cette âme n’est pas proprement hominidéenne propre à l’holobionte que nous sommes, non, elle subsiste de diverses manières à mon sens, dans tous les êtres ; même le simple ver de terre, il n’a qu’une âme de vers de terre, et c’était déjà beaucoup. Sans lui, vos terres ne seraient pas cultivables, d’ailleurs, si elles sont stériles, elles produisent une nourriture inadéquate, pestilentielle, moribonde. C’est ce qui se passe, vérifiez ! Certains le disent, honnêtement ils le constatent, vos terres cultivées sont pourries, pour la plupart, dans vos cultures intensives, pourries de pesticides… Cela n’est pas venu d’une intelligence supérieure, c’est aussi un égarement de ceux qui nous construisent et nous maintiennent. J’ai du mal à concevoir notre véritable indépendance sur cette question ? Nous sommes tellement une multitude, tellement habités, que l’erreur est globale en ce qui nous concerne, de vivants que nous sommes, cette association s’égare ! Mais apparemment, il faut que nous testions cet égarement jusqu’au bout, jusqu’à faire disparaître notre propre espèce, à constater que ce maintien d’une folie telle que la nôtre ne se peut éternellement, nous devrons bien passer à autre chose à un moment ou un autre, voilà toute la question. Ou encore, à modifier l’holobionte (le vivant s’en occupe déjà, n’ayez crainte), le transformer, le construire différemment, explorer d’autres voies, d’autres égarements, et peut-être là (l’oiseau, en repassant, lâche un « tsii » interrogatif, puis s’endort), y trouver un salut, nous dirions, une nouvelle voie, une multitude de nouvelles voies, nous apportant un bienfait plus qu’un méfait. Oh, quant à ma personne, dans toute cette multitude qui me construit, si j’en viens à dire tout cela, c’est peut-être un égarement dans ma propre tête, de ma propre imagination, qui me vient là, mais regardez autour de vous ; je n’ai pas l’impression de m’égarer autant qu’on pourrait le dire, même si j’en vexe certains, imbu de leur supériorité, baignant dans un ego routinier, je rabaisse au moins le mien, mon ego à moi, à un minimum vital qui me suffit amplement, « ils feraient bien d’en faire autant ! », c’est ce que je me dis au fond de moi ; mais pfft, laissez-les faire, laissez-les aller jusqu’au bout de leur égarement ! Jusqu’au bout, ils verront bien jusqu’où on peut se tromper, s’égarer, oui… Moi-même, je m’égare probablement ? Eh, je garde une lucidité qui m’est propre, qui m’apaise. Je suis dans un leurre différent, eh, ce leurre, ce solutionnement momentané que je donne aux choses que je comprends, ou crois comprendre, je reste dans cette spécificité qui nous est propre, a priori, de croire momentanément à des choses, pour apaiser notre esprit ; nous fonctionnons… car nous fonctionnons de la sorte, il faut bien l’accepter ainsi, nous sommes des êtres « croyants », quoi qu’on en dise, et nous avançons ainsi pour domestiquer notre apaisement, cela fait partie, disent les savants, de notre « homéostasie », je veux bien le « croire » ainsi ! Vous voyez, j’utilise encore sciemment le mot ! De toutes ces « croyances » qu’elles prennent toute forme, d’une science ou d’un savoir, cela ne représente qu’une croyance momentanée, même si elle s’appuie sur des faits constatés, c’est un apaisement momentané d’une connaissance nous venant, qui s’affine au fil des années, ce n’est que ça, ce n’est que ça…

Sortie de ma tête, tel jour, à telle heure, à tel moment…