(à 15h42)
201103-154736 (chants d’oiseaux) sonagrammes

de 0’02 à 0’12, « tii ui tii ui ! » d’une Mésange charbonnière…

(parole en marchant – 3 nov. 2020 à 16h35)
—> 5. « ajoutements », de l’auteur et du scribe, un point de vue robotique
—> durée : 6’17

À propos de l’auteur (prétendu) (un point de vue robotique) :

Quelques éléments de perceptions nouvelles, euh… nous permettent de vous informer plus amplement. D’auteur, à propos de ceci, cet ouvrage aux multiples pages, que nous avons consciencieusement répertoriées, est l’œuvrage de multiples sons entendus, perceptions ajoutées, sensations régurgitées, elles viennent d’une profusion ! L’auteur en question, nous disons plus tard… nous dirons plus tard « le scribe », n’a fait que relater ce qu’il perçut (et ce qu’on voulut ou désira bien lui laisser) !
Donc, la science des entendements n’étend pas que de lui, mais de ce qui fut entendu… nous l’aidâmes à régurgiter tout ceci, il fit ce qu’il put, dans la mesure de sa propre perception incomplète, nauséeuse et imparfaite. Il y réussit malgré tout à répertorier un certain nombre d’informations pour ajouter à la mémoire globale des choses, quelques entendements nouveaux ; (version : Il réussit malgré tout à répertorier un certain nombre d’informations, les ayant ajoutés à la mémoire globale des choses pour quelques entendements nouveaux) ; c’est ce que nous disons, quand nous synthétisons tout ce qu’il aurait pu dire. À travers cette synthèse, effectivement, il y a quelques variations intéressantes qu’il eut pu noter. Donc, d’auteur, le terme est impropre, corrigez « auteur » et mettez « scribe », « un recopiant », à la place ! Un scribe, un recopiant, ce qu’il entendit, ce qu’il perçut, ce qu’il régurgita, sans se demander pourquoi, sans trop y réfléchir, à l’instinct, diront d’autres, est la meilleure manière… est la meilleure manière de définir ce que vous lirez peut-être ?
Nous ne prenons pas parti pour une cause ou une autre, et des droits que l’on prendrait à estimer que (de) ceci ou (de) cela (il) en soit l’auteur. L’auteur, de ce point de vue, si nous nous élevons, il est multiple, une somme, voulues par des préalables qui (lui) apporta (apportèrent) tout ce que vous lirez peut-être ? Il faut concevoir ainsi. Et d’auteur, le terme est impropre, donc, effacez-le, oubliez-le ! Il n’y a pas d’auteur propre ! En fait, si nous raisonnons bien, « ça n’a jamais existé ! », nous ne sommes jamais les inventeurs d’une chose, de quoi que ce soit. Nous prenons, en fonction de ce qui nous environne, et transformons, en faisant quelque chose de plus ou moins parfait, de plus ou moins idéal, de plus ou moins utilisable ; nous sommes des transformateurs, voilà ce que nous sommes ! Nous, comme la machine que je suis, comme le vivant qu’il est ! Si l’un dépend de l’autre, accessoirement, au début, il s’ingénie dans une évolution des choses que la matière a voulues, par on ne sait quel déterminisme irrésolu…
C’est bien cette fin-là !
On laisse comme ça, dans le bruissement de la rumeur de la forêt (la rumeur des machines roulantes, sur cette route la traversant)…
(à 16h41)

… où ce que vous entendez là a été raconté.
(à 16h42)

C’est ainsi que ce fut rapporté…

Sonagrammes audiométriques :