(texte manuscrit – 30 août 2020 à 13h50)

—> ilem, les règles du jeu

Idées de lois qui n’en sont pas, entendues (répandues) quelque part…
(ajout électronisé – 17 sept. 2020 à 20h)
Et puis, d’en choisir quelques-unes comme point de départ, une chose, un concept, un truc, un machin, au hasard, par mégarde ou pour s’en amuser, les laisse inventer toutes sortes de mondes…
« Il n’y a pas d’origine, il n’y a que les transformations… »
Voilà ce qui vient à l’esprit de celui qui s’interroge
« Il n’y a pas de milieu, il n’y a que des centres, éparpillés à qui mieux mieux au sein d’univers dont on ne connaît pas les lieux… »
« D’une origine, elle a toujours un préalable qui l’établit, comme ce qui la suivra servira d’origine à une autre à la suite (et ainsi de suite)… »
« Tout se transforme et rien ne reste inerte, éternellement… »
« Notre temporalité, elle n’est qu’un instant fugitif ajouté à d’autres s’ignorant les uns les autres qui parfois se rencontrent dans un flash, une impression de déjà-vu… »
« Chaque moment est un moment possible en train de se réaliser en un point indéfini, quelque part, en interaction plus ou moins avec le reste… »
« De conscience, il n’y a que celle que nous percevons, dans l’ignorance du reste : nous ignorons les consciences des autres (nous ne sommes qu’un point isolé en apparence volatile dans une immensité mal perçue…) »
« Les lois ne durent que le temps qui les supporte, jusqu’à une intolérance ; à ce moment-là, elles risquent de voler en éclats, dans ce cas, seront remplacées par d’autres prenant la relève, ne serait-ce que pour élaborer des mondes et des matières, et ainsi de suite… »