perturbations de particules élémentaires dans une chambre à bulles…
Si les images sont belles, c’est qu’elles parlent aussi de nous, de ce qui nous assemble et compose, ces particules élémentaires indispensables au moindre atome de notre biologie. Le tournoiement de certaines, la collision d’autres, leurs combinaisons, associations ou dissociations, sont autant de fluctuations d’un milieu infime, ces insignifiances apparentes permettent l’essor des vastitudes de ce monde. Il n’y a pas d’échelle où il n’existerait aucune complexité ; à tous les niveaux, un monde complexe se dessine, et ce rien apparent, le vide, n’est jamais tout à fait vide, il existe toujours quelques vibrations, des soupçons d’énergie, un échauffement, une désintégration hasardeuse passant par là ; la complexité est partout et ne considérez pas votre forme comme l’aboutissement ultime d’un monde, cette ignorance d’inconnus non perçus est à la mesure d’une vanité, à se « croire comme le centre du monde », ce serait une illusion, une névrose pour vaincre une peur ancestrale…
(ajouts, redite, dérives et éparpillements…)
Si les images sont belles, c’est peut-être quelque chose qui interpelle auprès d’elles !
Non ! Si les images sont belles, certainement ces quelques traces aléatoires aux creux d’elles ! Reprenons !
Si les images paraissent belles, c’est qu’elles montrent à ceux qui les ont concrétisées pendant leurs études, un moment capturé pour tenter de comprendre ce qui les assemble et compose, ces particules élémentaires indispensables au moindre atome de leur biologie. Le tournoiement de certaines, la collision d’autres, leurs combinaisons, associations ou dissociations, sont autant de fluctuations d’un milieu infime, ces insignifiances apparentes permettent l’essor des vastitudes de ce monde. Il n’y a pas d’échelle où il n’existerait aucune complexité (ou du moins elle n’est pas perçue) ; à tous les niveaux, un monde complexe se dessine, et le rien, le vide, n’est jamais tout à fait vide, il existe toujours quelques vibrations, des soupçons d’énergie, un échauffement, une désintégration hasardeuse passant par là ; la complexité est partout et ne considérez pas votre forme comme l’aboutissement ultime d’un monde, cette ignorance d’inconnus non perçus est à la mesure d’une vanité à se « croire le centre du monde », ce serait une illusion, une névrose pour vaincre une peur ancestrale…
(puzzle temporel passé ou à venir, selon le sens de la lecture)
(ajout électronisé, 17 sept. 2020 à 19h30)
Voyons, réfléchissons, « si les images sont belles, c’est qu’elles parlent aussi un peu de nous, de ce qu’il dut se passer pour assembler les briques qui nous constituent, une invention de cet ordre-là… »
Il ne reste plus qu’à assembler ce qui sera constitué, là où plus loin vous lirez…