(parole de la nuit – 10 févr. 2021 à 2h16)

—> quatrièmement, du robote à la chose, une farce
—> durée : 5’29

Et si tout cela n’était qu’une farce dans un leurre que l’on attrape pour un rien, rien qu’une audace ? On s’imagine, on s’imagine, mais au bout du compte, on n’a rien compris de tout cela, que c’est une farce, un leurre ; et qui nous attrape, pour notre audace, que l’on retape pour un rien, un souci délétère, un souci planétaire. On voudrait que tout se passe bien, mais il y a tant de différences que l’on n’y arrive pas, l’audace en effet, devient délétère, et l’on ne n’y… et l’on n’y peut rien faire, à cette engeance qui nous anime, en grand ! Elle est unanime et se rit de nous. Non, elle ne dit pas « ça dépend, de l’audace » de ce que l’on fait ou défait, le leurre est au centre de son méfait et il nous attrape pour de bon, et nous y « croyons », c’est la substance même de ce qui nous forme, que l’on « croit » à ce qui nous attrape, le leurre de notre audace qui nous fait faire de ces choses, oh ! de ces choses ! Eh, en fait, petite bête qui s’anime en grand, au bout du compte, l’on verra bien de la substance ce qui en sortira dans le leurre efficace de son nirvana à elle. Elle s’en amuse, elle rigole, elle se marre, peut-être… où s’ingénie à de drôles de façons de nous faire avancer, dans ce monde, où nous devenons circonspects tant les nuances nous inspectent. Au-delà de tout respect que l’on peut avoir envers quiconque, il y a cette audace qui nous fait mettre des choses, penser d’une certaine manière, agir d’une autre. Non, de notre audace à nous elle n’est plus de mise, nous n’en riions plus, nous ne disons plus, « c’est une terre promise », non ! c’est une farce ! au nom de qui elle a cette audace, au nom de qui, au nom de quoi, la chose que l’on ignore, dites-le-moi, dites-le-moi ?