(parole entre deux sommeils – 8 juillet 2021 à 1h45)
—> préalable ὕλη (hȳlē) : voilà ! Céder le récit…
—> durée : 3’09
Voilà ! je vous cède le récit, il est à vous, vous en ferez ce que vous voudrez !
Il n’y a pas de noms accolés * (à coller) dessus, et même si vous en mettiez un, le vôtre, ou celui d’un autre, vous contrediriez tout le contenu même de ce récit, il faudrait le changer il n’aurait plus de sens, car un nom vous y aurez ajouté !
Toute la valeur de celui-ci (ce récit), qu’elle soit pauvre, médiocre ou riche, peu importe, n’a de sens que dans l’absence de ces noms donnés ; quelque chose nous poussa à ne pas les mettre, un ressenti, perçu depuis… depuis toujours… quand j’y pense ?
Moi, qui transcris tout ceci à la mesure que cela venait, y apportais les changements, les modifications, les ajouts nécessaires d’une façon neutre dans l’anonymat le plus complet possible…
Pour le récit ? Qu’il mène sa vie dorénavant, ajouté au reste ! Quant à celui ou ceux qui le transcrivirent, qu’on les oublie, ils n’ont pas de nom, aucun nom, et cela suffit !
* Ne sont laissés que les noms des autres (non humains) !
…
(pré-version finale)
Voilà ! je vous cède le récit, il est à vous, vous en ferez ce que vous voudrez !
Voilà ! On vous cède le récit, il est à vous, vous en ferez ce que vous voudrez !
Il n’y a pas de noms * à coller dessus ; et si vous en mettiez un, le vôtre ou celui d’un autre, vous contrediriez tout le contenu même de ce récit, il faudrait le changer, car il n’aurait plus de sens, à cause d’un nom, celui de votre clan (de votre lignée, de votre espèce), celui que vous y aurez ajouté !
Il n’y a pas de noms * accolés dessus, et si vous en mettiez un, le vôtre, ou celui d’un autre, vous contrediriez tout le contenu même de ce récit, il faudrait le changer, il n’aurait plus de sens à cause de ces noms ** que vous y aurez ajoutés !
Toute la valeur de celui-ci (ce récit), qu’elle soit pauvre, médiocre ou riche, peu importe, n’a de sens que dans l’absence de ces noms donnés ; quelque chose nous poussa à ne pas les mettre, un ressenti, perçu depuis… depuis toujours… quand on y pense ?
L’entité qui transcrivit tout ceci, à la mesure que cela venait, y apporta les changements, les modifications, les ajouts nécessaires d’une façon neutre dans l’anonymat le plus complet possible…
Pour le récit ? Qu’il mène sa vie dorénavant, ajouté au reste (les autres traces laissées) ! Quant à celui ou ceux qui le transcrivirent, qu’on les oublie, ils n’ont pas de nom, aucun nom, et cela suffit !
* Ne sont laissés que les noms des autres (les non humains) !
** Ceux de votre clan, de votre lignée, de votre espèce…
…
(ajout du 23 juillet 2021 vers 9h)
Avaient-ils un nom, les premiers êtres de ce monde, ici ? En eurent-ils l’idée ? À cette époque, ce n’était pas une nécessité, il n’y avait rien à inspecter et les entités douées de méfiances n’étaient pas encore inventées, la bêtise, le fric, la haine, les guerres n’étaient pas encore une réalité ; à présent, ces expériences sont dorénavant satisfaites, et un petit gène se dit « vous devriez, sans tarder, les remplacer, toutes ces défiances, par une autre envie, un souci d’une autre vie, oh, peu de choses, pensez à votre survie… »