(parole entre deux sommeils – 12 aout 2021 à 2h22)
—> [philosophia vitae] que veulent-ils ? (le savent-ils vraiment ?)
—> durée initiale : 3’51 ; durée après corrections : 2’34
(Il a perdu le fil de sa pensée, elle ne faisait que passer et il a trop attendu pour la mémoriser, alors il affirme sans connaître, à partir d’un savoir illusoire, pour y mettre peut-être une fin à cette histoire…)
Eh ! Dans leurs prises de pouvoirs, ce qu’ils tentent… ce qu’ils appellent leurs pouvoirs, le savent-ils, les hommes de ce qu’ils veulent vraiment ? Ils sont pris dans un jeu ; livrés à eux-mêmes, ils tentent d’être les maîtres de quelque chose qu’ils ignorent. Bravo à la vie de les mener par le bout du nez, ainsi, de la sorte ! Ils sont pris au propre jeu qui les anime ! Ils croient à une vérité venue de leurs seules croyances, certitudes ou enquêtes, de sciences, philosophies, médecines de tout ce que vous voudrez. À tout bout de champ, à tout moment, ils sont livrés à eux-mêmes dans l’expérience qui est faite d’eux.
Il n’y a pas de maître dans l’histoire ! Ils tuent leurs opposants, ils tuent leurs ennemies réciproques, tour à tour, an après an, siècle après siècle, ils se chamaillent toujours avec les mêmes rengaines, cela n’a pas évolué ? Mais où veulent nous mener ceux qui nous animent tant, vers ces manières délurées, primitives, sans intérêt, qui n’aboutissent à rien qu’une déchéance future, de plus en plus certaine ? Impossible de voir clair, dans ce jeu que la vie nous mène, impossible, le secret est lourd et bien gardé, il manque une pièce au puzzle, et on ne saurait la trouver ? Ou alors, stupidité du raisonnement, aucun secret, tout est laissé, il suffit de déchiffrer et d’avoir la présence d’esprit de déceler l’infinie parcelle d’une réalité qui nous saute aux yeux et dont on ne comprend pas tout !
(version)
Eh ! Dans leurs prises d’influences, ce qu’ils tentent d’atteindre, ce qu’ils appellent leurs pouvoirs, le savent-ils, les hommes de ce qu’ils veulent vraiment ? Ils sont englués dans une farce et livrés à eux-mêmes, ils s’efforcent d’être les seigneurs de quelque chose dont ils ignorent le fondement. Bravo à la vie de les mener par le bout du nez ainsi, de la sorte ils sont pris au propre jeu qui les anime ! Ils croient à une vérité venue de leurs seules croyances, certitudes ou enquêtes, de sciences, philosophies, médecines de tout ce que vous voudrez. À tout bout de champ, à tout moment, ils sont livrés à eux-mêmes dans l’expérience qui est faite d’eux.
Il n’y aurait pas de maître dans l’histoire ! Alors ils tuent leurs opposants, ils tuent leurs ennemies réciproques, tour à tour, an après an, siècle après siècle. Ils se chamaillent toujours avec les mêmes rengaines, cela n’a pas évolué ? Mais où veulent nous mener ceux qui nous animent tant, vers ces manières délurées, primitives, sans intérêt, qui n’aboutissent à rien, une déchéance future de plus en plus certaine ? Impossible d’y voir clair, dans ce jeu que la vie nous amène, impossible, le secret est lourd et bien gardé, il manque une pièce au puzzle, et l’on ne saurait la trouver ? Ou alors, stupidité du raisonnement, aucun mystère, tout est laissé à la vue de tous, il suffit de déchiffrer et d’avoir la présence d’esprit de déceler l’infinie parcelle d’une réalité qui nous saute aux yeux et dont on ne comprend pas tout !