(récit électronisé, 18 aout 2021, vers 14h)

—> 3. « singes savants » : [philosophia vitae] holobionte

Il faudrait ne garder qu’une version, mais on laisse la variation…

(original)

Quel est cet animal, holobionte multicellulaire, un eucaryote de passage, quel gène insidieux le pousse à médire de son espèce ? « Quel est donc ce dégoût, quelle psychose l’a contaminée », diraient les psys de son espèce, leurs diagnostics seraient classiques, « névrose, désamour, et rancœur », diront-ils. Oui, la défaillance apparente de quelques gènes, aussi d’avoir vécu dans des milieux inhospitaliers, la haine ordinaire des gens, conditionne la plupart, d’avoir une vie de merde, banale situation de la plupart des vivants. Sans se douter, aussi, que ces défaillances apparentes prédisposent à des variations, force à expérimenter d’autres voies, histoire de vivre mieux, afin de s’apaiser, la petite homéostasie régulatrice agissant au creux de toute existence terrestre, à tenter une adaptation, il faut beaucoup d’échecs pour une réussite ! Les psys choses, quelque chose comme ça, ceux des hommes ayant pour activité d’analyser le cervelas de leurs congénères, oublie pourtant l’essentiel ; toute science des hommes, quelle qu’en soit sa portée, n’appréhende guère l’ensemble du vivant, où tout est relié ! Si j’ai peur, si je ris, si je jouis, si je parle, ce serait bien une humeur portée par une immense multitude, en dehors et au dedans de soi, on ne peut tout appréhender, impossible, même dieu, est une névrose importée : un leurre à notre portée, faire croire, a tout a rien, peu importe, il faut bien l’apaiser le bougre, qu’il soit Vermisseau, Singe du genre homo, Oiseau ou la Marguerite d’un champ déserté, une apparente anarchie régule le monde terrestre, la planète est un corps vivant, dans sa multitude, elle tente aussi de s’équilibrer, dans sa diversité, à trouver au travers de multiples langages, l’opportune façon de tout relier ; mais à quoi donc servez-vous les hommes ?
Vos outillements servent à quoi, sinon d’attiser vos seuls plaisirs, vous feriez bien, au lieu de vous aimer ou haïr en cœur, entre vous, une demande oppressante vous titille les neurones, adapte-toi, et relis-toi au monde, au lieu de le détruire pour ton seul plaisir ! Arrêtez de ne parler que de vous !
Vous n’existez que par les autres, un leurre vous aveugle ?
Alors, brisez-le, dépassez-le, arrêtez de croire à ce concept bébête, que veut la bête ?
Survivre, mourir, etc., quel ambarras dans tous ces choix ?

Voilà, ce qu’il raconte, l’holobionte de passage, son dégoût a des arguments !

(version)

Quel est cet animal, holobionte multicellulaire, un eucaryote de passage, quel gène insidieux le pousse à médire de son espèce ? « Quel est donc ce dégoût, quelle psychose l’a contaminée », diraient les psys de son espèce, leur diagnostic serait classique, « névrose, désamour, et rancœur », diront-ils. Serait-ce la défaillance apparente de quelques gènes (leur réplique n’est pas homogène), aussi, d’avoir vécu dans des milieux inhospitaliers, et la haine ordinaire des gens, conditionne la plupart, ils ont une vie de merde, banale situation de la majorité des vivants. Sans se douter, aussi, que ces défaillances apparentes prédisposent à des variations, force à expérimenter d’autres voies, histoire de vivre mieux, afin de s’apaiser, la petite homéostasie régulatrice agissant au creux de toute existence terrestre, pour tenter une adaptation, elle génère beaucoup d’échecs pour une réussite ! Les psys choses, quelque chose comme ça, ceux des hommes ayant pour activité d’analyser le cervelas de leurs congénères, oublie pourtant l’essentiel ; toute science des hommes, quelle qu’en soit sa portée, n’appréhende guère l’ensemble du vivant, où tout est relié ! Si j’ai peur, si je ris, si je jouis, si je parle, ce serait bien une humeur portée par une immense multitude en dehors et au-dedans de soi, on ne peut tout appréhender, impossible ! Même l’idée d’un dieu n’est qu’une névrose importée, un leurre à notre portée amenant à croire, à tout, à rien, peu importe ; il faut bien l’apaiser, le bougre, qu’il soit Vermisseau, Singe du genre homo, un Oiseau ou la Marguerite d’un champ déserté, une apparente anarchie régule le monde terrestre ; la planète est un corps vivant, dans sa multitude, elle tente aussi de s’équilibrer, dans sa diversité, à trouver au travers de multiples langages, l’opportune façon de tout relier…
« Mais à quoi donc servez-vous les hommes, un des derniers bébés du vivant en somme ?
Tous ces outillements, toutes ces machines, elles servent à quoi à qui en dehors de vos seuls plaisirs, du confort qu’elles vous donnent, auriez-vous trouvé mieux à faire, à n’aimer que vous, tout en vous haïssant, tous en chœur dans un entre-soi bien à vous ? »

Une demande oppressante vous titille les neurones, elle raconte, « adapte-toi, et relis-toi au monde, au lieu de le détruire pour ton seul plaisir ! » Arrêtez de ne parler que de vous !
Vous n’existez que par les autres.
Un leurre vous aveugle ? Alors, brisez-le, dépassez-le, arrêtez de croire à ce concept bébête qu’il abrite. Que veut la bête ?
Survivre, mourir, etc., des embarras, tous ces choix ?

Voilà, ce qu’il raconte, l’holobionte de passage, son dégoût a des arguments !

(version)

« Je ne vous aime pas ! »

Quel est cet animal, holobionte multicellulaire, un eucaryote de passage, quel gène insidieux le pousse à médire de son espèce ?
Qu’a-t-il vécu, celui-là, pour les dénigrer ainsi ?
« Quel est donc ce dégoût, quelle psychose l’a contaminée », diraient les psys de sa famille, leur diagnostic serait classique, « névrose, désamour, et rancœur », diront-ils.
Quoi, serait-ce les défaillances supposées de quelques gènes, et aussi d’avoir vécu dans des milieux inhospitaliers la haine ordinaire des gens ? Cela en conditionne plus d’un, d’avoir une vie de merde, banale situation endurée par la plupart de vivants. Sans se douter, tout autant, que ces défaillances apparentes prédisposent à des variations, force à expérimenter d’autres voies, histoire de vivre mieux, afin de s’apaiser, la petite homéostasie régulatrice agissant au creux de toute existence terrestre, à tenter une adaptation, il faut beaucoup d’échecs pour une réussite ! Les psys choses, quelque chose comme ça, ceux-là ayant pour activité d’analyser la cervelle de leurs congénères, oublie pourtant l’essentiel ; toute science des hommes, quelle qu’en soit sa portée, n’embrasse guère l’ensemble du vivant, où tout est relié ! Si j’ai peur, si je ris, si je jouis, si je parle, ce serait bien une humeur portée par une immense multitude, en dehors et au-dedans de soi, on ne peut tout appréhender, impossible ! Même ce dieu des uns et des autres apparaît comme une névrose ajoutée sciemment, un leurre mit à leur portée les pousses à croire à tout, à rien, peu importe ; ce serait un gène à la base pour l’apaiser, l’eucaryote, le microbe, qu’il soit Vermisseau, Singe, Oiseau, Acarien ou la Marguerite d’un champ déserté, un Bacille, une apparente anarchie régule le monde terrestre ; la planète est un corps vivant, dans sa multitude, elle tente aussi de s’équilibrer, dans sa diversité, à trouver au travers de multiples langages, l’opportune façon de tout relier ; mais à quoi donc servez-vous les hommes ?
Vos outillements, ils aident à quoi, à exacerber vos seuls plaisirs ? Vous feriez bien, au lieu d’aimer ou haïr en cœur entre vous, d’écouter une demande oppressante vous titiller les neurones, « adapte-toi, et relis-toi au monde, au lieu de le détruire pour ton unique contentement, arrête de ne parler que de toi ! »
Vous n’existez que par les autres, un leurre vous aveugle ?
Alors, brisez-le, dépassez-le, arrêtez de croire à ce concept bébête !
Que veut la bête ?
Survivre, mourir, etc., quel embarras, tous ces choix ?

Voilà, ce qu’il raconte, le singe, cet holobionte de passage, son dégoût a des arguments !