(parole entre deux sommeils – 26 août 2021 à 2h45)
—> [considérations philosophiques]
—> jours des synthèses (intermède 2e —> 3e (??))
—> durée originale : 15’46 ; durée après retouches : 9’05
Synthèse !
Le jour des synthèses est arrivé ; ou le soir, plutôt ! Oh, disons le jour, puisque c’est le matin, très tôt !
D’abord, dans cette synthèse des choses, ce à quoi je pensais il y a quelques instants, après avoir vu un film réalisé il y a plus de trente ans au sujet d’une réincarnation d’un être mort accidentellement ; bien des peuples perçoivent cet aspect-là des choses, il n’est pas totalement erroné, tout n’est qu’affaire d’interprétation ; à un moment ou un autre, ce qui vous constitue habita d’autres êtres, nous sommes construits d’une multitude, et cela transmet en permanence de l’information… des informations, qui se juxtaposent, se mélangent, c’est évident ! C’est un fait ! Tout n’est qu’affaire d’interprétation, et parfois des fuites, des éléments de synchronisation harmonique se produisent, et produisent… comme un éclair, une lumière d’une perception jadis perçue par d’autres, et qui resurgit au creux de soi sans que l’on sache pourquoi ? Ce fait a été vécu des multitudes de fois par tout être dans l’existence ; il y a tant d’entités sur cette planète, qu’il est évident qu’à un moment ou un autre cela se croise, s’intercepte, et provoque de tels phénomènes.
Ça, c’est un aspect ! Il en est d’autres que l’on aborda dans les récits dont on parle ici ; j’y pensais tout à l’heure, ils ne me reviennent pas tout de suite, la pensée est furtive et s’évade vite, le temps de trouver la machine enregistreuse et que l’on appuie sur les boutons de son mécanisme, la perception s’envole, pour revenir peut-être plus tard ; l’idée était là, toute prête…
Ah oui, elle revient… où l’on parle de ce qui est « extraterrestre » ; ce mot, en fait, n’a de sens que si l’on considère les choses d’une manière temporelle, très étroite ; tout ce qui constitua la terre fut à un moment, extraterrestre, en dehors de la terre, et tout ce qui constitue à l’heure actuelle la terre, est construit d’éléments qui l’ont composé… la compose et la traverse, des particules, en permanence, venues du cosmos, quelle que soit leur échelle, les forces engendrées, la terre n’est pas un monde à part, il fait partie d’un milieu, d’un univers, et il « interagit »… Elle interagit en permanence avec lui, au-delà des limites de notre perception. À un moment ou un autre, tous les éléments qui se trouvent sur terre furent en dehors ; ils sont transportés momentanément, ensemble, cohabitant sur cette planète, le temps, qu’un jour (ou l’autre) où elle sera détruite, elle aussi, quand le soleil l’englobera, d’après ce que l’on dit (anticipe) devenu une géante rouge ; c’est probablement ce qui se produira ? Pourrions-nous parler là, de choses extraterrestres ? Le soleil est extraterrestre, mais en permanence, il permet aux vivants de subsister sur cette terre. Le vivant ne subsiste que par les éléments extraterrestres qui traversent en permanence notre planète (ou l’inondent comme la lumière et tous les rayonnements du cosmos) ; en fait, ce terme ne veut pas dire grand-chose, est trop limité. Il est évident que, eh eh… d’existences extraterrestres, euh… nous en somme le produit, ce qui nous compose, la vie, le vivant, ses constituants, sont extraterrestres, puisque nous sommes le produit, il y a très longtemps, de poussières d’étoiles, de ces particules qui furent inventées au creux de ces corps célestes. Il est évident qu’ils étaient extraterrestres, puisque à cette époque, la terre n’existait même pas ! Alors, dire que des mondes, des existences, traversent ou risquent de nous croiser… mais rien ne nous dit que, quelle qu’en soit l’existence, qu’ils existent ailleurs, c’est évident ; elles n’ont pas ni l’aspect de ce que nous sommes ni une réplique, elles sont différentes, non pas forcément à notre échelle, soit des corpuscules, énormes, au-delà de notre taille, ou infimes, invisibles, à notre échelle, c’est probablement déjà produit, cela ? Il est évident que des mondes cohabitent, à nous d’en trouver les portes d’entrée, afin d’apprendre à communiquer.
Mais avant tout cela, une troisième perception, qui relie toutes les autres, dans cette synthèse que nous tentons de faire ; c’est tout simplement qu’il y a beaucoup à apprendre, à relier les savoirs, les expériences, les langages de cette planète, de quelque existence que ce soit ; il y a le nôtre, propre, mais euh… celui des autres, ceux des autres ! Si au creux de nous-mêmes, cette perception, cette sensation, qu’il faille relier les choses nous apparaît nécessaire, pour simplement survivre, progresser, évoluer, c’est que quelque chose nous y pousse ; et nous ne savons pas quoi ? Et cette chose, ce quelque chose là est peut-être probablement, dans la limite du mot, qui correspond à ce que l’on vient de dire, peut-être cette chose-là, est extraterrestre, ne fait pas partie de la planète, mais eh, la planète fait partie d’un univers, et ce que nous en percevons est infime ; c’est dans le détail de quelconques assemblages qu’il y a le phénomène d’une complexité ; tout, en surface, peut apparaître global, représenter des masses d’hydrogène, quand il s’agit du composant ultime des étoiles, mais, ce qui déclenche le mouvement des étoiles et leur éblouissement, c’est le petit quelque chose, la petite étincelle qui permet à celles-ci de s’allumer ; le petit corpuscule, la petite nuance, l’imperfection qui crée l’étincelage. Le vivant procéderait, en quelque sorte, dans cette subtilité qu’il existe parce qu’il y a eu à un moment, une petite altération, différenciation, qui créa un changement, une variation, qui enclencha un quelconque processus dont nous faisons partie…
La synthèse, aujourd’hui, ce matin très tôt, est en quelque sorte synthétisée à travers ces quelques minutes de monologue ; on ne sait s’il y en aura d’autres, on a déjà à intégrer tout ce qui fut déjà récité, accumulé dans ces récits forts nombreux. Donc, n’en rajoutons pas trop, le travail est déjà important, et que ce qui vient d’être dit là pas moins d’une journée sera nécessaire pour le transvaser ; ces sonorités, que ma parole a émises par on ne sait quel processus, me dit (disent) de raconter tout ça, je le fais ! je m’y soustrais !
Voilà, la synthèse se situe dans tous ces aspects-là, qu’il faut approfondir dans les récits à mettre au propre, dans la partie… plus subtile, qui correspondra au « troisièmement », puis au « quatrièmement », et les reliquats dans un « cinquièmement » ; aujourd’hui, ce matin très tôt, c’est ce que nous percevons ; demain sera un autre jour, et nous ne savons pas encore ce qui viendra perturber ce que l’on dit là… probablement des compléments seront apportés, probablement…