(parole entre deux sommeils – 1er sept. 2021 à 2h17)

—> synthèse (suite du 26 août 2021 à 2h45) (intermède 3e —> 4e (??))
—> durée originale : 35’44 ; durée après retouches : 24’15

Voilà ce que l’on pourrait penser :
Quand la terre s’est formée et que le vivant y est apparu d’une manière ou d’une autre, l’assemblage de ce qui fut la terre au début et des particules de toutes sortes, des éléments des atomes, une biologie, des minéraux, qui se sont assemblés localement pour former cette planète ; et toutes les provenances de ce qui constitue cette planète ont été construites dans une multitude d’endroits, à partir de quelques étoiles qui ont vécu et qui ont construit les éléments qui ont bâti cette terre, des poussières cosmiques qui se sont agglomérées, et le phénomène vivant s’y est importé, puisqu’il y est apparu ! Qu’il existât avant, c’est probable, on n’en sait trop rien ; mais la pensée qui me vient en ce moment, qui (elle) cogitait déjà au creux de ma cervelle avec quelques relents, c’était que… il y eut une existence avant celle qui apparut sur terre, qui avait certains fondements complètement ignorés, c’est une supposition ! Eh, qu’elle s’est échappée, retrouvée ouf, euh… trouvée là d’une manière ou d’une autre, comme un vaisseau abandonné qui s’écrasa sur terre, et essaima un processus embryonnaire ; ou, si le processus existentiel… voyez, je ne parle pas du vivant, mais cette forme d’existence était déjà très développée, elle laissa quelques briques de son fondement, des éléments essentiels de son développement qui s’était amoindri à cause d’une étoile morte, d’une étoile qui explosa, qui détruit un système où cette existence y était foisonnante, ça, c’est de la science-fiction. Mais imaginons quelque chose comme ça, qui à travers une sorte de vaisseau cosmique, des météorites, des comètes, s’écrasa sur cet astre naissant qu’était notre terre ; eh (cette existence), elle ne put se développer comme elle existait ailleurs, ce n’est que des éléments de bases qui s’y trouvèrent, qui s’y assemblèrent. Il fallait tout reconstruire, tout réinventer. Mais la formule était là, elle y a été déposée, le plan de fabrique… les plans de fabrique étaient apportés sur notre astre et ils s’y sont développés, ont formé les premières molécules vivantes (que nous connaissons), et toutes les espèces existentielles qui s’ensuivirent, le principe qui nous fabrique était là ; mais la compréhension de ce processus, la petite étincelle qui fait que vous existez, vous viviez, ça, elle n’est pas forcément au creux du plan de fabrique, ou si elle y est enfuie… enfoui, nous n’en connaissons pas le principe, le principal… ce qui fait qui vous agite, ce qui nous fait croire en quelque sorte, et qui fait que l’on croit à quelque chose, à quelque chose de divin ! On pourrait le comprendre ainsi, et c’est là que l’on se fourvoie, car toutes les croyances actuelles n’apportent que des dogmes qui n’arrivent plus à évoluer et (les) imposent plus ou moins… ou, l’ont faits (auparavant), ou les reproduisent, des systèmes… les reproduisent, des systèmes tels que les dictatures de l’esprit, des religiosités, des dictatures… enfin des systèmes qui n’arrivent pas à dépasser le cadre même de leurs croyances. Eh, à la fois cette croyance vous canalise, elle vous donne des rituels, eh, qui vous apaisent et qui vous permettent de subsister ; mais quand la civilisation se développe, ces religiosités-là se trouvent décalées, elles n’arrivent pas (plus) à évoluer, elles bloquent, stérilisent les civilisations en question, et si… la civilisation n’arrive pas à s’en détacher, ces mêmes religiosités, ces mêmes croyances vont amoindrir les civilisations et faire qu’elles se dégradent, ne puissent en… ne pouvant plus évoluer, car englober dans un dogme qu’ils n’arrivent pas à dépasser, ceux qui sont à la tête du pouvoir politique, des religiosités par conséquent… C’est la situation actuelle que nous vivons depuis quelques siècles, depuis que de fortes religions se sont développées, elles en sont toutes au même point. Il faut dépasser le cadre de la croyance. Il faut essayer de percevoir au-delà même de ce que nous sommes, de notre plan de fabrique, du gène qui nous pousse à croire et qui nous aveugle en même temps qu’il nous apaise ; qui des deux principes de perception, celui qui adopte ces religiosités et n’en sort pas, et celui qui tente de les dépasser, lequel des deux principes va gagner sur l’autre ? S’il y a un enfermement d’un être qui n’arrive pas à dépasser les cadres mêmes qui le fondent, cette espèce-là va disparaître à tout jamais ! Par compte, l’autre, celui qui tente de dépasser, de comprendre ce qui le fonde et le construit, ce à (par) quoi nous sommes menés (nés), là, il y a la possibilité de… d’aller, peut-être sans jamais véritablement l’atteindre, vers le principe de cette petite étincelle qui nous anime et qui fait que l’on existe, qu’on ait une perception de soi et nous permet de dire ce que l’on est en train de dire, et que l’on ne sait pas vraiment par quel principe l’on est amené à dire ce que l’on dit là ! C’est là que se trouve le débat, tout le débat ! Toute la biologie existentielle sur cette terre en est à des balbutiements d’un processus qui tente… au vivant, de se transporter ; tous nos vaisseaux que nous construisons, ce n’est pas pour une seule espèce qu’ils sont construits, c’est pour le vivant en son entier. Il est appelé à quitter cette planète, parce que cette planète, un jour, mourira… mourra si vous préférez, elle est programmée pour c’là (la vie) ; le principe de l’univers, dans ce que l’on en comprend, et le vivant, dans son principe, en est conscient puisqu’il nous force à construire des vaisseaux pour quitter cette planète un jour…
Oh ! on n’en est pas à quelques milliers, millions d’années près, on a encore le temps, mais dans autant de temps à peu près que la terre a déjà vécu, il y a ce processus progressif qui fera que le soleil va atteindre une taille telle qu’il englobera même la terre, c’est ce que nous disent les astronomes, ce que l’on pense comprendre du principe qui régit les étoiles dans l’univers. Cette étoile qui est la nôtre, qui scintille, notre soleil va devenir une géante rouge tellement énorme que la terre va être consumée et englobée par cette étoile. A priori, elle ne deviendra pas une nova, une supernova, non, elle est trop petite, notre étoile, elle ne sera que (elle ne deviendra qu’une) géante rouge, qui (elle) grossira, grossira, et quand il n’y aura plus d’énergie à brûler, elle s’éteindra et peut-être s’effondrera sur elle-même, et avec elle, tous les astres tournant autour, qu’elle aura englobé dans son grossissement progressif. Il est fort probable que la conscience que nous avons de ce fait, la connaissance à travers ce que nous appelons la science, cette discipline qui tente de comprendre l’univers, c’est une discipline que le vivant organise pour percevoir les choses telles qu’elles sont, autant que possible ; et cette évidence, en découvrant le monde tel qu’il est, que un jour il disparaîtra, et que si nous restons là où nous sommes, nous disparaîtrons avec lui, enfin… nos descendances, ce ne seront plus des hommes à cette époque-là, ce seront les êtres de demain, ce seront la suite des vivants actuels ; non pas uniquement des hommes, mais de tous les vivants.
Il faut toujours raisonner, à mon avis, sur cette base de perception, en englobant tout le monde, en n’écartant personne, car tout est lié. Tout comme le fonctionnement de cette planète est lié à l’éclat du soleil, pas de soleil, pas de vie sur terre ! Tout est lié et relié… C’est de percevoir cela, de le comprendre et d’apprendre à se déplacer, (le) premier principe du vivant, à la premier… à la première cellule qui se divisa sur terre, elle provoquera… à la première cellule qui se divisa… cellule vivante, qui se divisa, probablement au fond des eaux, elle créa deux choses : un double d’elle-même et un déplacement, c’est-à-dire la duplication d’elle-même, mais pas sur elle-même, à côté d’elle ! La division engendra une autre cellule vivante, une bactérie, un être unicellulaire, ou ces ancêtres (où les plus anciennes deviennent ses ancêtres), mais à chaque fois, en se divisant, il y eut des déplacements, et les premiers voyages se… commencèrent, et les premiers voyages commencèrent à cet instant-là, quand une même entité se divisa en deux, puis en trois, puis en quatre, etc., chacune de ces divisions étend à côté l’une de l’autre, non pas au même endroit, déplacer donc, elles ont voyagé ! petitement au début, et peu à peu au fur et à mesure des duplications d’elles-mêmes, les déplacements s’en trouvèrent agrandis.
Voilà ce qu’est la vie, une duplication d’elle-même et à la fois un être voyageur qui se déplace… Même une plante s’étend ; elle semble immobile elle-même, mais quand elle pond des graines, c’est pour se dupliquer d’elle-même, mais pas sur ce qu’elle est, l’endroit où elle est elle-même, mais à côté ; donc elle s’est déplacée (d’autres se déplacent de racine en racine, de branche en branche, des stolons suffisamment souples pour retomber au sol et s’enracinent comme les stolons de la Ronce), sauf que son déplacement est plus lent que celui d’un mammifère, mais il y a déplacement tout de même ! Donc ça, c’est un principe que l’on oublie, qui (il) n’est pas exprimé ; mais avant tout, c’est cela le vivant, un être qui se duplique et qui se déplace… Eh (n’oublions pas) la petite étincelle au creux de lui, qui fait qu’il s’anime et se déplace… Vous répétez cela à travers une consommation d’énergie, et un apprentissage de ces déplacements, de l’expérience de ces déplacements, au fur et à mesure, vous fait construire, au bout d’un certain temps, des êtres tels que les vivants qui se trouvent sur cette planète, dont nous… être multicellulaire, un agglomérat de cellules, qui à l’origine n’étaient qu’une, des Bactéries où leurs ancêtres ; elles ont construit, ces ancêtres bactériens, les êtres que nous sommes, puisqu’elles se trouvent partout, dans la moindre de nos cellules vivantes, elles y sont encore, elles nous font fonctionner ! Ce sont les cavaliers de notre être, eh, tout ce que nous pensons, disons, est en grande partie influencé par leur principe, leur mécanisme, et notre être, nos croyances et tous nos bla-bla sont la conséquence de leurs agitations à elles, ces Bactéries, qui nous permettent de digérer, de respirer, de manger, de fonctionner ! Eh, elles-mêmes, ces Bactéries étant la base la plus simple du vivant, sont régies par les mêmes règles que nous, sauf qu’elles sont un intermédiaire indispensable, « premier ! » D’ailleurs, on les appelle de la sorte, on vous parle de « Procaryotes », alors que l’être que nous sommes est un « Eucaryote », un être multicellulaire ; mais euh… un être multicellulaire ne peut pas fonctionner uniquement que de cellules, il faut une sorte de symbiose d’organismes à l’intérieur de lui, qui lui permette de fonctionner réellement, de digérer, et de ce pouvoir ; donc euh… l’être multicellulaire est à la fois un « holobionte », un être symbiotique construit à partir d’êtres bactériens qui nous assemblent et nous régissent et nous chevauchent… et nous font dire ce que je vous dis là en ce moment ; car c’est un processus qui s’auto-éduque, qui (il) apprend par le raisonnement tout en se déplaçant, tout en existant, tout en se reproduisant, mourant, et reproduisant au fur et à mesure d’autres êtres, des variations de lui-même, au fil du temps ; tout être est soumis à ce principe !
C’est dans cela que se trouve le mystère de la petite étincelle ! Car le plan de fabrique ne suffit pas, il donne euh… euh… les éléments pour construire tous les êtres multicellulaires que nous connaissons, entre autres, mais autant aussi, il y a une génétique au creux de nous-mêmes, qui est celle des propres bactéries qui nous occupent… qui ont leur propre génétique tout comme nous avons la nôtre ; eh, tout cela est tant… est tellement lié, tellement imbriqué, qu’on ne considère (pas) qu’un être, en soi ; mais nous sommes chacun de nous, déjà une multitude, donc jamais seule !
Et il faut raisonner dans ce cas-là, dans cette multitude pour s’en sortir, accepter cette multitude, ouvrir les yeux et tenter d’explorer en dehors des principes de pensées et d’éducation de raisonnement, de compréhension du monde que nous avions naguère ; il faut tenter euh… de dépasser ce cadre-là, de ne pas le laisser figer, car il va, on le sait très bien, se scléroser et s’éteindre si nous n’arrivons pas à progresser. Quand nous levèrent les yeux… quand les premiers hommes conscients d’eux-mêmes levèrent les yeux vers le satellite de la Terre qu’on appelle la Lune, quelque chose au creux d’eux-mêmes leur a dit « tu iras sur cette planète, tu iras sur la lune… » et effectivement, nous y avons été ! Mais transporter la vie ainsi est trop lourd, gaspille énormément d’énergie ; donc il faudra préparer les déplacements futurs de ce que nous sommes, en inventant des outillements pour cela, et nous construisîmes des fusées, des satellites qui se déplacèrent autour des planètes du Système solaire, et nous en (avons) envoyer déjà un certain nombre pour explorer ces mêmes planètes, et aussi des comètes, etc. Tout cela pour préparer les futurs voyages d’une biologie qui n’est pas apte à se déplacer dans l’univers, comme ça, il lui faut sa planète. Le vivant de cette terre est lié étroitement à sa planète.
Le temps, nous avons juste le temps, ces quelques milliards d’années qui nous restent, en tant que vivant à reproduire les mécanismes du vivant dans un processus qui nous permette de nous déplacer en dehors de la terre (version : Le temps, nous avons juste le temps, les quelques milliards d’années qui nous restent en tant que vivant, à reproduire les mécanismes du vivant, dans un processus qui nous permette de nous déplacer en dehors de la terre) ; et il faudra en quelque sorte tout emmener, toute l’histoire de ce que nous fûtes (fûmes) jadis, les vivants. Je ne parle pas que de l’homme, je ne parle pas que de cette espèce, puisqu’elle est multiple, comme de tout le reste ; toute l’expérience, tout le savoir de tous ces êtres qui se sont formés sur cette planète est à préserver. C’est ce à quoi s’occupent nos machineries (en grande partie, malgré beaucoup de déchets), des machineries que le vivant, le principe du vivant nous fait construire, ce n’est pas pour notre usage propre, ou du moins nous le croyons puisque nous ne sommes pas tous aptes (prêts) à concevoir les choses telles ce que je vous le dis, à l’heure actuelle, ce n’est qu’une perception ni une certitude. Eh, il y a, me semble-t-il, quelque chose comme ça dans les prémisses du vivant qui nous fondent ! Il faudra y regarder de plus près !
Oui, nous nous déplacerons ; mais avant, il faut préparer les outillements aptes à préserver la vie en dehors de sa planète nourricière, puisque le vivant est une matérialité combinée dans un univers fait de choses physiques, de matières… de matières qui s’animent, entre autres ; nous sommes combinées de tous les éléments que l’on trouve sur terre ; mais aussi à travers le cosmos, de tous les rayonnements qui nous traversent en permanence. Un déplacement en dehors de notre planète va faire changer (varier) tous les rayonnements cosmiques qui nous environnent, il faut y être prêt et nous ne le sommes pas, loin de là ! Mais de toute façon, notre avenir se situe là, les problèmes à résoudre, entre autres, se situent à cet endroit. Eh, le principal est notre adaptabilité à préserver tout ce principe d’outilleurs, ce que le vivant nous fait construire, car il a une idée derrière la tête ; ce que le… les religieux appelleront une divinité, leurs dieux est un processus qui dépasse ce cadre… Comprendre la situation, apprendre des principes qui nous régissent, pour on ne sait quelle raison, agir ainsi… pour bâtir des entités régulatrices au-delà même du principe régulateur qui nous anime, et qui (il) fait partie de notre plan de fabrique, de notre génétique ! Il faut que les outillements que nous allons construire aient une autonomie comparable au vivant ; et pour pouvoir les construire suffisamment, il faut prendre ce que nous sommes ? Euh… dans nos outillements, nos robotes, nous ne reproduisons pas le vivant, nous en sommes incapables, nous ne sommes pas les maîtres de nous-mêmes ! Non ! Il nous faut construire, dans ce cas-là, si nous extrapolons, les fondements d’un système organisateur qui régit, à travers des systèmes sensoriels, tous les principes énergétiques de la planète. Ce n’est pas l’humanité (contrainte) à se gérer toute seule, c’est le vivant dans son entier qu’il faut considérer, nous sommes liés au vivant, nous n’en sommes pas en dehors, ça a été maintes fois dit ici ; nous devons apprendre à réagir et raisonner pour la communauté totale des vivants, c’est ce à quoi nous sommes amenés, mais pas en tant qu’être dominateur, mais en tant qu’être parmi d’autres êtres, car si l’on n’y regarde bien, l’humanité toute seule ne peut subsister, elle ne subsiste que parce qu’il existe d’autres existences sur terre ; sans plantes, sans d’autres êtres vivants autour de nous ni des bactéries qui nous occupent, nous n’existons pas ! C’est même pas que nous mourrons rapidement, nous ne pouvons exister en dehors d’eux !

Voilà où se situe actuellement le discours, le récit, qui se situe à la fin du racontement des (du) « troisièmement », un discours de vieux savant, diront certains, des choses philosophiques, diront d’autres, peu importe la case où vous mettrez ce récit-là qui est en train de se dire ; cela n’a pas d’importance, c’est de comprendre la perception que l’on a tenté d’exprimer ici, qu’il s’agira de décortiquer, cela, et d’en faire une synthèse à votre propre niveau, chacun de vous… L’entité que je représente, elle, aura disparu le jour où vous entrez probablement ce récit-là, s’il est transcrit en dehors des sonorités (mémorisées) que je suis en train d’émettre ? Aura-t-il un intérêt (ce récit), je ne le sais ? Eh, peu importe ; je suis dans la tentative de raisonner (je suis dans la tentative d’un raisonnement), et de réciter ce que je perçois, je ne suis pas l’auteur de ce que j’exprime, je ne suis qu’un transducteur, un transformateur qui tente d’emmagasiner des informations, non pas pour lui, mais pour la communauté des vivants, tout comme d’autres le font chacun à leur manière, moi je le fais de celle-ci. Tout est important, tout est à considérer, mais il faut faire aussi des choix. C’est là que se situe le problème, dans les choix que nous aurons à faire au fil du temps pour survivre et progresser, et aller vers ce que nous demande la vie, en existant…

(ajout)
Cette pensée-là, celle qui nous venait (au moment où nous l’exprimions), à nous comme aux autres de notre espèce et très certainement chez d’autres, n’est pas une pensée proprement « humaine », elle nous semble exprimer une missive du vivant (les égarés l’affubleront de mots « divins »), comme un ordre sous-jacent, induit, suggéré, ajouté dans les gènes (en train de se réveiller) en guise de réplique, un réactif pour affronter les dégénérescences de quelques espèces vivantes semblent atteintes, dont l’humanité ; l’ordre s’ingénie au creux de nos cervelles, les Procaryotes sont à la manœuvre et éduquent la bête, la corrigent, tentent d’éviter le marasme d’un échec (dans l’expérimentation de cette espèce bipède qu’est la nôtre) ; une chose dont le vivant est habitué depuis la nuit des temps, ses échecs récurrents à trouver les moyens d’un plus grand déplacement et sa persévérance assidue à progresser de la sorte…

(parole entre deux sommeils – 2 sept. 2021 à 0h05)

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—> durée : 0’33

Les choses sont dites comme une évolution de la pensée et que l’on médite ; des récits qui peu à peu se contredisent, s’affinent, s’opposent ou s’ajoutent, c’est selon ; il s’agit de varier tout le temps, on ne peut faire autrement…