(texte manuscrit – 25 mai 2021 à 13h40)

—> ajoutements, autour et sur le récit

C’est comme quelque chose au creux de vous qui vous dit de faire comme ça, de faire comme ci, par on ne sait quels caprices vous obtempérer n’y voyant aucun souci. Vous vous abandonnez à votre instinct sans trop y réfléchir, vous obéissez à une sourde voix indistincte et vous le savez, elle a fait de vous un pantin servile.
Alors, encore, vous ne comprenez pas tout à ne dire que ce qui vient de suite, sans trop y réfléchir, transmettez l’information inspirée « est-elle bonne, est-elle mauvaise, est-elle jolie, à cela je ne sais ? » Dira le scribe besogneux dans sa tâche de copiste, il régurgite du mieux qu’il peut l’effluve maintenant écrit et que vous lisez en ce moment.
« Est-ce bien ou mal ? Quelle est cette raison ? On le fait sans passion ! » Cet acte de vous, écrire une lettre parce que quelque chose vous en donne l’ordre, ou plutôt suggère (sans trop d’explications) au-delà du doute il y a une intention dont on ne connaît guère la raison… vraiment ?
Lisez le reste si ça vous chante !

Excusez cette prose mal venante, en aurait-on la permission, on l’ignore, et c’est bien pour cela que nous réalisons la prose mal venante…
Mais qui raconte tout cela ?
Un scribe parmi d’autres
l’un d’entre vous !
Étant de passage ici, ces récits, offerts, de longs récits, traces laissées de multiples récits apportés de cette manière, où fallait-il donc que les mettre, quand donc s’en démettre ? Intrigante question, dont on ne sait quoi y ajouter… comme un relais que l’on passe au suivant…