(texte manuscrit – 30 mars 2021 à 21h27)

—> ajoutements, autour et sur le récit : sens sous-jacents

Autre verbiage : ce qu’il faut comprendre d’un mot et de son orthographe ou sa grammaire, ce n’est pas l’exactitude de son écriture l’important, c’est le sens qu’il exprime, son histoire, son étymologie, ce qui se cache derrière ! Le sens en question, résumé par un mot, est lui, perçu universellement, son orthographe varie d’une langue à une autre, d’une époque à une autre ; le mot, le terme n’est pas le petit message qu’il exprime, il n’en est qu’une expression sommaire et incomplète, souvent trop réductrice. C’est bien pour cela qu’il faille des phrases, des livres entiers pour arriver à approcher de près la trace immatérielle d’un savoir, d’une mémoire, par-delà les mots leur orthographe et leur grammaire sommaire et somme toute très secondaire… Il n’est qu’une lecture réduite du sens perçu, de la mémoire exprimée, de la souvenance racontée, comme une sorte de fixation d’instants passés que l’on tente de se remémorer. L’orthographe des mots n’a donc pas d’importance, elle doit rester en second plan, dans la mouvance des changements temporels de son signe, et ce, d’un dialecte à l’autre, ni le mot subsiste idem pour définir une chose unique que l’on tente de décrire, comme le ouah ouah d’un chien, ce serait instinctivement l’intonation de son aboiement que vous retiendrez, son affect, c’est au-delà des mots, le véritable langage !