26 sept. 2019, note

(texte manuscrit, vers 18h)

De la mémoire du vivant
Ceci n’est pas un livre (dans le sens usuel du terme), mais une somme d’écritures disparates…

début oct. 2019, note

(texte manuscrit)

Subsisteront encore quelques réminiscences d’un langage niais, venu de l’enfance.

3 août 2020

(texte manuscrit – 3 août 2020 à 17h50)

« Je fais cela parce que quelque chose au fond de moi me le demande ; j’en suis à la fois satisfait, outré, indifférent, contrarié, vaniteux, orgueilleux, conscient, gêné, mais n’ayant pas de qualités extraordinaires, j’obéis à ce qui me dit de mettre, la chose qui me traverse. Et, pour qu’elle me foute la paix, j’obéis ; je ne suis qu’un scribe, auteur de rien du tout, un passeur de mots exprimant plus ou moins adroitement des choses qui me dépassent assidûment. »
« Ne me demandez pas d’expliquer tout cela, je n’en sais rien d’où ça vient ; ou je le sais trop bien, mais de là d’où ça vient, je n’y connais (comprends) rien, je subis, j’annote la mélodie et la transmets du mieux que je peux. »
« Voilà, c’est dit ! »