(parole en marchant - 16 juill. 2017 à 18h56)

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la formule qui me contient constitua n’est pas adéquate

Or je n’aurais pas dû naître homme ; le code génétique à l’origine de ma construction n’apparaît pas adéquat ; il est quelque peu chaviré, chamboulé, perturbé, il apporte un mauvais héritage, déversé sans bonheurs ni malheurs d’ailleurs ; un brin mitigé toutefois ; dire que la vie m’assaille un peu trop peut-être ? Non ! Celui qui m’élabora ce codage-là n’est pas approprié, il défaille, ne me semble pas à la juste mesure de ce qu’il devrait être ; comment faire ? À cette bonne mesure que l’on prendrait bien, inventer un tout petit rien pour résoudre la situation ; mais voilà, la tâche que l’on s’est donnée, ou que l’on vous impose, vous ne savez plus trop, vous propose d’avancer jusqu’au bout de ce travail, « après tu feras ce que tu voudras ; achève au moins ça, après tu feras ce que tu voudras ! » ; c’est comme « un passe ton bac ! Après, tu feras ce que tu voudras ! » Mais je suis fatigué, et l’épreuve devient quelque peu alambiquée, vaguement intéressante, ainsi parfois on s’illusionne, on se permet des airs de grand savant, ou d’érudits suprêmes ; alors que tout semble (basculer) bâclé à l’extrême, ah ! l’ajout d’une toute petite chose pourtant, pour résoudre le problème, j’y pense tout le temps… Oui, bon, arrête tes conneries…