il est des choses qui vous arrivent (parole entre deux sommeils - 20 janv. 2018 à 1h34)

—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit

(original)
Il est des choses quand elles vous arrivent en tête, et que l’on ne sait pas trop comment elles s’égrènent, comme cela ! et qu’on voudrait comprendre et qu’on ne comprend pas ? C’est cela l’énigme qu’il essaye de découvrir, le narrateur de ces lignes, l’auteur, diront certains… Sauf que lui justement il n’en est pas certain, d’en être l’auteur, de ces lignes-là, justement, il s’interroge ?

(version)
Il est des choses, quand elles vous arrivent en tête, et que l’on ne sait pas trop comment elles s’égrènent comme cela ! On voudrait comprendre, mais on ne comprend pas ? C’est cela l’énigme qu’il essaye de découvrir, le narrateur de ces lignes, l’auteur, diront certains… Sauf que lui justement il n’en est pas certain, d’en être l’auteur, de ces lignes-là, justement, il s’interroge ?

naissance de « İl » (note)

1 (parole entre deux sommeils - 20 janv. 2018 à 1h41)

Naissance d’İpanadrega « İl » : dans la chronologie, la véritable naissance se fait à trois ans. L’exprimer à travers la chronologie, c’est le deuxième cycle, le second racontement de la narration initiale, le premier cycle la narration onirique et poétique, le deuxième cycle chronologique, le troisième cycle, je ne sais pas encore.

2 (parole entre deux sommeils - 20 janv. 2018 à 1h45)

Naissance d’İpanadrega « İl » : fin du vingtième siècle dans un pays lointain (incertain), inutile de le citer ; il (nait d’un enfant de) à trois ans, nait en lui ce que l’on nommera plus tard İpanadrega dans peuple innommé (la femme à la fumée bleue) ; il ne le sait pas, son premier tourment va s’ajouter à d’autres, son tourment initial lui en amènera d’autres et son interrogation, pourquoi ?

—> İpanadrega devient « İl »

peut-être troisième cycle (parole entre deux sommeils - 20 janv. 2018 à 1h52)

—> ajoutements —> scenographia ?
—> ajoutements —> autour et sur le récit ?

Peut-être le troisième cycle, le racontement total : tel jour à telle heure, à tel moment, me vient en tête, ce nom : « İpanadrega » ; de ce nom découle toute l’histoire qui suit, il fixe une tentative d’élaboration incertaine, il la canalise à travers précédemment plusieurs essais avortés, il en donne une ampleur, une raison, un sens ; le début d’İpanadrega dans la tête de l’homme qui inventa ce mot et de toute l’élaboration qui viendra ensuite ; c’est de l’auteur qu’il s’agit, il ne parle pas de lui, il parle de l’histoire ; comment lui est venue l’idée de cette histoire, la chronologie ? Non ! elle a déjà été faite dans le deuxième cycle, là, il s’agit du racontement principal (de) la source, l’étincelle d’où vient le nom, il ne parle pas des textes, il parle de la mise en scène des textes, qui vont lui venir peu à peu et de ceux qu’il va récupérer, ceux qui ont déjà été écrits, pour les insérer dans le récit final, transformer, adapter ; le troisième cycle est (serait) le racontement total de la chose, il raconte une sorte de mise en scène tout autour du récit lui-même, il parle de ce qui lui amène à écrire ceci ou cela ; c’est une écriture totale, le cycle final, c’est peut-être là la réponse ? C’est à expérimenter, s’il n’y a pas là, la notion même de ce troisième cycle, la narration totale, celle qui finalise l’histoire…

« İl » est né d’un tourment (parole entre deux sommeils - 20 janv. 2018 à 2h02)

—> voir en quatrième de couverture dans prochaine édition 2018-19 ?
—> ajoutements, autour et sur le récit
—> à revoir !

Quand je dis « İl est né d’un tourment », ce tourment est celui aussi de l’homme au sens général, mais plus encore, ce même tourment est cette sensation qu’éprouve une partie du vivant, aussi ; que ce soit İl, les hommes, ou le vivant, il s’agit des mêmes entités dont on parle, selon que l’on nomme un être, une espèce, ou la totalité de la chose existentielle chacun exprime une partie de ce tourment, et quel est-il ? Pour cette raison, « İl » désira raconter son histoire, l’histoire de ce tourment et du long voyage, comment il… (trouver les raccords pour l’exprimer)

(ajout du 02 juill. 2018 à 09h48)

Pour cette raison, « İl » désira raconter son histoire, l’histoire de ce tourment et du long voyage qui va avec ; cette histoire commune à tous dans ses multiples variations, elle nous façonne tous ainsi, la vie…

(parole entre deux sommeils – 20 janv. 2018 à 2h04)

Ainsi « İl » était le tourment de la vie, il s’est éteint ainsi, aussi, il n’est plus (dorénavant).