(parole entre deux sommeils - 24 janv. 2018 à 2h33)

—> 5. « ajoutements », autour et sur le récit
—> ou transposer pour « il » dans un monologue ?

—> cette réalité : de ne pouvoir pleinement parler de ce que l’on ignore la plupart du temps ; comment s’y intéresser ? (Il y a bien les arbres ou les plantes, les êtres les plus voyants, mais les autres ? Quoi en dire, quoi faire pour susciter un intérêt ?) (ajout du 29 sept. 2018 à 17h50)

(original)
C’est-à-dire, mon entité n’a pas besoin d’être nommée, le « moi » ne m’intéresse pas ; dans mon discours, mon identité n’a pas d’intérêt, elle ne représente aucune perspective, c’est l’en-dehors de moi qui est intéressant, la description de ce qui est autour de moi, donc « moi » en tant qu’individu (pfft !)… Quant à vous, je vous nommerai pour vous identifier, j’y donnerai comme je nommerais toutes les structures existentielles qui existent dans ce lieu, de l’infiniment… du plus grand au plus petit, hein… jusqu’aux bactéries qui fourmillent par milliards parmi nous et sur les murs partout, les insectes infimes, les petits acariens à droite à gauche, etc., ils méritent d’être nommés, identifiés, considérer qu’ils existent, qu’ils jouent un rôle, c’est cela mon action, de… dans… d’exprimer la perception de l’autour de moi et non pas de moi-même, moi-même je ne m’intéresse pas, je n’ai aucun intérêt pour moi, je me connais, je suis moi et alors ? Je n’ai pas à en dire plus… Du fonctionnement de mon intérieur, c’est une étude qui a déjà été faite, je l’ai déjà appréhendée, je ne m’y intéresse plus, je m’intéresse (par conséquent) aux en dehors de moi, donc, maintenant !