—> 1. « İl », peregrinatio, livre 2 : 081. [af fé] affects, émotions,
de ceux qui n’ont pas d’enfant, arguments eux savait…

il était de ceux qui n’ont pas d’enfant
(parole en marchant - 4 déc. 2016 17h46)

Et puis cette autre sensation rencontrée dans des assemblées de familles, on le classait avec ceux qui n’ont pas procréé et à leurs yeux il ne pouvait comprendre, ce qu’une éducation représentait ; considéré à cause de cela comme un externe, un intrus, malgré son apparence humaine analogue aux autres, on le différenciait en raison de ce manque de descendance, et la quelconque appréciation qu’il pourrait émettre sur la question était plutôt rejetée avec dédain, quoi qu’il dise.

arguments eux savait
(parole en marchant - 4 déc. 2016 17h49)

Leurs arguments démontraient qu’eux savaient ; mais que peuvent-ils connaître plus que d’autres, tout ce qui nous est octroyé à ce sujet, ne dépend-il pas essentiellement de nos instincts, que des apprentissages de nos ancêtres, un acquis transmis par nos gênes, à la naissance, que d’une expérience ; qu’allez-vous enseigner à ces mères chattes ou félines, léchant l’anus de leur petit, pour exciter la muqueuse et amorcer la pompe excrémentine, que crache la purée digestive enfantine ; personne ne leur a appris cet instinct, assurément  ; probablement, il y a très longtemps, nos mères humanoïdes firent de même, il suffit d’imaginer…
De nos jours, certains, certaines, lèchent l’anus des autres, mais plus pour les mêmes raisons et n’excite pourtant ladite muqueuse d’où je conçois bien, provoque une activation instinctive et ancestrale d’une purée par forcément digestive, ni excrémentine, imaginez… les temps changent…

(version corrigée)

Et puis cette autre sensation rencontrée dans des assemblées de familles, on le classait avec ceux qui n’ont pas procréé et à leurs yeux il ne pouvait comprendre ce qu’une éducation représentait ; considéré à cause de cela comme un externe, un intrus, malgré son apparence humaine analogue aux autres, on le différenciait en raison de ce manque de descendance, et la quelconque appréciation qu’il pourrait émettre sur la question était plutôt rejetée avec dédain, quoi qu’il dise. Leurs arguments démontraient qu’eux savaient ; mais que peuvent-ils connaître plus que d’autres, tout ce qui nous est octroyé à ce sujet, ne dépend-il pas essentiellement de nos instincts, que des apprentissages de nos ancêtres, un acquis transmis en grande partie par nos gènes, à la naissance, plus que d’une expérience ; qu’allez-vous enseigner à ces femelles chattes ou félines, léchant l’anus de leur petit, pour exciter la muqueuse et amorcer la pompe excrémentine, que crache la purée digestive enfantine ; personne ne leur a appris cet instinct, assurément  ; probablement, il y a très longtemps, nos mères humanoïdes firent-elles de même ? Je vous laisse imaginer…
De nos jours, certains ou certaines lèchent l’anus d’autrui, mais pas forcément pour les mêmes raisons et n’excite pourtant ladite muqueuse d’où je conçois bien, provoque une activation instinctive et ancestrale d’une tout autre purée, pas nécessairement digestive, ni excrémentine ; imagineriez-vous encore ? Les temps changent…

(ajout (??))
Il ne peut s’empêcher de rajouter des psychologies de bistrot, un peu décalé tout de même, sur un comptoir, il ferait tache : « Je sais que ce manque d’ego déplaît fortement à certaines femmes, il est considéré comme une faiblesse. Je l’ai souvent remarqué devant des choses futiles où elle attendait que j’exprime une certaine autorité, pour affirmer ou contrer un avis qu’elle désirait que celui-ci soit contredit, une lutte du mâle plein de testostérone… Ce point de vue que je trouve “défaillant” et relativement primitif m’a toujours fortement déplu, je n’y ai régulièrement vu là qu’un instinct précaire absolument sans attrait et source de bien des dysfonctionnements dans les esprits simples qui s’en laissent abuser, de ses discours à l’autosatisfaction très affirmés. Dans cette logique, on pouvait donc confirmer que j’apparaissais comme un “mal baisé”. Ironie de l’histoire, cette attitude m’a toujours écarté de déconvenues illusoires et je me remercie moi-même (petit ego sans démesure) de ne pas y être tombé ni me perdre au-dedans ; c’est déjà ça. »