—> 1. « İl », peregrinatio, livre 3 : 91. [∂] sudorem
(texte (??) – 30 sept. 2013 à 1h27)
—> original
vox – la voix
videre – la vue
sudorem – la sueur
cutis – la peau
la sueur des études savantes où naissent ces idées venues d’on ne sait où.
la prégnance indiscrète qui vous dévoile dans l’effort incertain des nuits noirs
votre dédain !
une humeur paresseuse qui vous dit « sentez-vous ! »
la carrière indiscrète des vapeurs de votre tige
inonde comme une pluie la saveur de vos chancres moues
l’avez-vous vous diriez-vous ?
la saveur océane des vieux mondes
les désires qui s’évapores de vous
le pâle destin d’une humeur de votre rein
aux travaux des énergies folles, les effluves éjaculants des sémaphores savoureux
qu’un autre mou eu happé comme la baleine ses fanons trie la bonne effluve
sachez donc que l’on pue à plein nasaux ici
les agents du nettoie moi du nettoie tout
n’ont pas la réputation adéquate, ils empestes et sanitaire tout
et non ne lave qu’aux rudesses du soir, de sottes pestilence sans espoirs
j’ai bien sue, la moiteur âpre boue
liquide prétentieux d’un moral à bout
bête immorale de mes affres roux
échaudé par des pensées au raz de mes poux
hideuse sensation de mon râle à genou…
…
(texte fixé – 9 août 2017 à 20h24)
la sueur – sudorem (final 2017)
91. [∂] sudorem
La sueur des études savantes où naissent les idées, elles viennent d’on ne sait où, vous figent dans une prégnance vive et indiscrète du soir, vous dévoilent dans des efforts incertains, les nuits noires, un dédain sans pareil ! Une humeur paresseuse qui vous dit « sentez-vous ! » La carrière inélégante des vapeurs de votre tige inonde comme une pluie, l’aigreur des chancres mous ; l’avez-vous, l’assureriez-vous ? La ferveur océane des vieux mondes, ces désirs qui s’évaporent de vous et le pâle destin d’une humeur de votre rein, leurs travaux aux énergies folles, puis les exhalaisons éjaculant des sémaphores savoureux qu’un autre mou eu happé, comme pour la baleine, ses fanons trient le bon effluve ; sachez donc que l’on pue à plein nasaux ici ! Les agents du nettoie moi, du nettoie tout, n’ont pas la réputation adéquate, ils empestent et sanitaire tout et non, ne racle qu’aux rudesses du soir, de sottes infections sans espoir. Lavez tout ! nous dirions-nous ? Et bien sûr, la moiteur âpre de la boue, liquide prétentieux d’un moral à bout, la bête immonde de mes affres rousses, échaudées par des pensées au ras de laids fous, devenu la hideuse sensation d’un râle à genou, ils veulent faire suer ce peuple debout… Et cætera, et cætera.