(texte ⁇ - 24 oct. 2016 à 9h56)
—> İpanadrega il découvre la sensualité
Il n’a pas, en fait, réalisé, accompli, l’étude du corps et des attouchements, il n’a pas expérimenté la caresse, le palpé, malgré quelques coïts sans attrait les soirs d’ennui ou une voulait bien de lui ; il n’a vu ni bu les exubérances de ce corps, ses retournements, ses enfermements, son ouverture, son extase et sa jouissance ; il ne rechercha aucunement les manières de toutes sortes de danses, des mouvements qui s’observent du dehors, mais pourquoi donc ces obligations, se demande-t-il, maintenant qu’il dort ; non, de tout cela il n’a défait, aucun méfait dans sa tête ; il n’en tire aucun dépit, aucun manquement, ces absences de sa vie, son absence du toucher ne l’a pas meurtrie, il voudrait s’en expliquer, à son destin, maintenant qu’il est presque accompli, au-delà du deuil ; il accepte sa nature et dès lors, comme l’oiseau qui n’a pas de port ni d’attache, s’envole au loin de vous.