—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 160. [o] songes, ce qui est étonnant avec les songes…

(parole en marchant - 6 mai 2017 à 18h12)

(récit original)

à ajouter

(version)

Ce qui apparaît étonnant avec les songes, c’est qu’eux aussi explorent tous les possibles, et ils se foutent pas mal de la cohérence du propos ; ils agissent donc avec une certaine discordance et le récit, curieusement, s’élabore à travers diverses influences où le sujet divague, se contredit, se contrebalance, expérimente une voie ou une autre (branche) en se foutant perpétuellement de ce qui fut dit précédemment ; en cela, le songe à quelque chose, euh… qui se rapproche de la métamorphose, il nous apporte des transformations qui parfois certes indisposent, mais permet ainsi, quand on s’en souvient, de ce songe, de transfigurer le présent en une multitude de propos suffisants pour que l’on égrène tous les possibles qui se posent à votre suffisance…

—> 1. « İl », peregrinatio, livre 4 : 160. [o] songes, ce qui est bien avec les songes…

(parole en marchant - 6 mai 2017 à 18h46)

(récit original)

à ajouter

(version)

Ce qui est bien avec les songes c’est qu’ils imaginent sans que tu leur demandes, ils conçoivent ceci ou cela sans cesse, à préméditer un autre que voilà.

Si tu t’imagines que je vais te dire ce qui me vient là, tu te fourres le doigt dans… l’œil ! Le monde ne s’est pas réalisé comme ça ! Ça mérite un peu d’abnégation, alors médite un peu, et puis apprend !

Si tu t’imagines à travers toi, le songe t’apporte peut-être quelques Nirvanas, on ne sait, on ne sait !

Et si tu t’imagines qu’ils vont te raconter leurs secrets leurs secrets !

Si tu t’imagines qu’ils viennent d’un ailleurs, il n’apparaît pas si près, si près ?

Si tu t’imagines des petites ondes métaphysiques qui t’imprègnent et qui t’imprègnent au-delà d’un règne, qui voudrait que tu t’éprennes pour le moindre inventaire, accepte-les dans tes écritures sommaires…

Tu t’imagines, tu t’imagines, et puis quoi… après… hein ? dite moi ?