(texte manuscrit - début 2018)
—> boucle temporelle à insérer ?
Pendant le long retour, mille pensées le prirent comme un éclair, le pire de la mémoire humaine, pendant son interminable parcours le long des ateliers sans fin il refaisait tout son drame (son nouveau premier drame) ; sans le savoir, İpanadrega était né il naquit à nouveau de cet instant, il le sut bien plus tard, quand s’élabora l’idée de raconter son histoire, il ne récitera en fait qu’un bout de celle des hommes, et le temps arrivait où il devait relier cette mémoire à celle des autres. Oui les hommes ne sont pas au centre de tout, ils forment seulement un instrument, oui le temps est venu de relier leurs mémoires à celles de ceux qu’ils ignorent encore ; à cause de cela, s’ingénie comme un désespoir cette désillusion à propos de leur prétendue prédominance.
Ils devront apprendre bien plus dorénavant.
Il n’était là que pour justement raccorder, rattacher ce qui fut perdu jadis bien avant que son espèce n’apparaisse.
Son petit message ne montrait qu’une liaison, une virgule, un diapason, une pièce manquante retrouvée et ajouter, le mandala s’en trouva ainsi compléter, terminer, il était venu le moment de l’effacer, ne faire que passer…
Fin temporelle (tome deux)