(parole en marchant - 16 janv. 2017 à 18h13)

—> 1. « İl », peregrinatio, le détachement : 184. [o é ?] calamité ou nirvana ?

calamité inattendue

Je dirais, de l’éveil aux choses du monde, choses de l’univers, de la matière, du vivant, et dans la perception de toutes ces dimensions de la plus grande à la plus infime. Pour l’être inexpérimenté, cela peut s’avérer une frayeur, une calamité, devant cet inconnu soudain, qui lui demande d’éprouver une sensation nouvelle ; cela peut être vécu comme une frayeur, oui ! dans cet acquis, pas forcément heureux, pour celui qui ne l’a pas quémandée exclusivement ni s’y soit exercé ; en faut-il d’ailleurs, une préparation à cela : « je ne le sais ? » Ma réponse actuelle à cette interrogation ! Mais cette expérience, disais-je, nous élève-t-elle à quelque chose de nouveau ? Chacun vit cela dans son entendement, il n’est pas d’explication universelle qui s’impose tout de suite ou qui devienne possible ; chaque perception reste différente et nous apporte un savoir nouveau, pas forcément communicable aux autres ou, du moins la mienne, devrais-je dire, ne se conçoit pas automatiquement au mieux pour autrui ; avec la même perception, dans leur ignorance de ce que je suis, ils ne s’y attendent guère et n’y prêtent pas plus d’attention aussi, c’est cela le souci…

(quelques mois plus tard, un matin, arriva la suite : quelques détails manquant, le 16 mai 2017 à 8h30)

—> 1. « İl », peregrinatio, le détachement : 184. calamité ou nirvana ?

sagesse du vivant

(parole en marchant - 16 janv. 2017 à 18h19)

Et dans ce processus, la vie, pour ne pas trop encombrer le fonctionnement de ses progénitures (dont l’homme), elle a masqué à la plupart les possibilités de cet éveil, probablement ; pour ne pas surcharger leur esprit, dans des tâches dont ils ne sauraient trop quoi en enfanter ?
— C’est vraisemblablement pour cela qu’elle nous a mis des œillères, pour que l’on en perçoive que ce qui devient le plus utile dans l’immédiat et que l’on ne s’évade pas au-delà.
— C’est peut-être pour ça que la vie nous a posé des œillères et que l’on ne discerne point trop les autres existences, dans leurs manières.
— C’est peut-être pour ça que la vie nous a mis des œillères et limité notre esprit à quelques frontières, pour que l’on ne divague guère…
Cela n’empêche d’ailleurs pas que l’on se tracasse coutumièrement tous en cœur, à accomplir quelques guerres d’orgueils ; quel choix devient donc préférable dans ces orientations parfois indéfendables ; nul ne le sait, ce qui s’avère acceptable, à nos avenirs considérables ?
— Beaucoup de « … able », dans cette demande de rabe quémandé à la vie et sa persistance interminable à nous laisser sans réponses, oui !