(parole en marchant – 21 avr. 2017 à 18h12)
—> 1. « İl », peregrinatio, le détachement : 191. [o ✍ m] ultimatum, rancœur et puis non **
—> à placer au début
(récit original)
– Rancœur ?
– Et puis non ! Vous seriez trop contents, de la rancœur et de son contentement…
– Hein ! Qu’en feriez-vous ?
– Vous diriez « ah ! je vous avais bien dit, cette rancœur et ce renoncement ! » Eh bien non, même pas ! Seulement un détachement… rien de tout cela, l’absence d’une rancœur, d’une vexation quelconque, une ironie, somme toute… Que l’on… que nous fonctionnons tous pareillement, avec les mêmes crépitements de nos synapses, qui (qu’ils) s’émerveillent, ou qu’ils opèrent quelques renoncements…
– Non ! décidément… Rien du premier mot que je vous citais ci-devant (tout à l’heure) ; j’en oublie même le nom ? Je disais quoi, auparavant ?
(version)
– Rancœur ?
– Et puis… non ! vous demeureriez trop contents de cette amertume et de son assouvissement,
– Hein ! Qu’en concevriez-vous ? Vous racontiez quoi déjà ?
– Ah ! je vous avais bien dit, cette désillusion et cet abandon ;
– Eh bien non, même pas, seulement un détachement… Oh ! rien d’alarmant, juste une absence, celle de cette humeur probablement, une vexation quelconque, une ironie trompeuse, somme toute…
– Nous fonctionnons tous pareillement avec les crépitements inchangés de nos synapses qui s’émerveillent ou opèrent quelques renoncements ;
– Non ! Décidément rien… du premier mot, que je vous exprimais tout à l’heure, j’en oublie même le nom…
– Je disais quoi auparavant ?
– Pas grand-chose, apparemment…