—> 2. « petit chemin » :

(parole en marchant - 10 mars 2016 à 16h59) lumière

(récit original)

Petit chemin au fond des bois : Ici, je suis à l’endroit où la lumière est exceptionnelle (snif), alterne des Pins et des feuillus, du Hêtre ou du Chêne ; et quand un rayon se disperse entre eux, une lumière surnaturelle s’éveille et me montre des effets d’ombre qu’aucun peintre (naturaliste) ne renierait. Le ciel s’illumine parfois avec des contrastes changeants entre les branches, qui donnent des envies de redessiner mille fois le même endroit rien que pour ses nuances et ses ombres…

(version)

Petit chemin au fond des bois : Ici, je suis à l’endroit où la lumière est exceptionnelle, alterne des Pins et des feuillus, du Hêtre ou du Chêne ; et quand un rayon se disperse entre eux, une lumière surnaturelle s’éveille et me montre des effets clairs obscurs qu’aucun peintre (naturaliste) ne renierait. Le ciel s’illumine parfois avec des contrastes changeants entre les branches, qui donnent des envies de redessiner mille fois le même lieu rien que pour ses nuances et ses ombrages…

(parole en marchant - 10 mars 2016 à 17h00)

(récit original)

Eh ! Eh aussitôt (après) avoir dépassé l’endroit, houp ! Ça y est ! Le… le terreau est redevenu comme avant, un ciel et des lumières au profil terne parfois, on sort de l’instant magique, on se retourne, dès fois il n’est plus là, on ne voit rien, il faut arriver de l’autre endroit de l’endroit où s’illumine le ciel comme il faut, où se font les ombres, que d’un seul angle, que d’un seul regard, plus que d’une seule façon de voir, on se retourne et hop ! plus rien ! On a le soleil en face, il faut rebrousser chemin, revenir d’où l’on était, pour retrouver le clin d’œil fait à la lumière… Que font ces arbres ensemble ; ces Pins et ces feuillus, mis là on ne sait (pas) vraiment pourquoi, mais qui à cet instant donnent une lumière inégalable, comme un coin à champignon on a envie de ne point le divulguer aux autres tant il est secret et quand on voudrait qu’il ne soit point détruit par autrui.

(version)

Eh ! Et aussitôt après avoir dépassé l’emplacement, houp ! ça y est ! le… le terreau redevient comme avant, une ambiance avec des clartés au profil terne ma foi, on sort de l’instant magique, on tourne la tête, par moments il n’est plus là, on ne voit rien, vous devez arriver de l’autre endroit, de l’endroit où s’instille ce ciel comme il faut, où se fondent les variances d’une ombre, que d’un seul angle, que d’un seul regard, que d’une seule façon d’observer, on se retourne et hop ! plus rien ! Ou alors on trouve un soleil trop en face, quitte à rebrousser chemin, revenir d’où l’on était, pour retrouver le clin d’œil fait à la clarté du jour… Pour quelle raison on a mis ici ces arbres ensemble, ces Pins et ces feuillus, on ne sait pas vraiment pourquoi ; peu importe, à cet instant ils renvoient une lumière inégalable, comme un coin à champignon, on a envie de ne pas le divulguer aux autres tant il est secret et qu’on voudrait qu’il ne soit point détruit par autrui.

(parole en marchant - 10 mars 2016 à 17h04)

(récit original)

Petit chemin au fond des bois : ici, nous avons une mare ronde, au milieu des arbres, dans une petite cuvette, après quelques pluies abondantes une mare ronde, parfaitement ronde s’est formée et forme un cercle étonnant ! (snif)

(version)

Petit chemin au fond des bois : ici, nous trouvons une mare ronde, au milieu des arbres, dans une petite cuvette, après quelques pluies abondantes une mare ronde, parfaitement ronde s’est constituée et forme un cercle étonnant !