(parole en marchant - dimanche 4 juin 2017 à 19h12)
—> 3. « singes savants », les cours du savant fou :
—> ajout à « dans l’esprit de la race pure »
En fait, la vie pour trouver son essor n’a pas forcément besoin en tout, de l’homme, et dans les voyages d’explorations, de vulgaires machines suffiraient, ils peuvent demeurer plus résistants que le métabolisme d’un être biologique et préparer ainsi ses futurs transports ; nous ne représentons que l’entité vivante qui construisit le robote, l’intelligence élaboratrice que conçut la vie ; et nous devions acquérir certaines facultés pour bâtir des automates qui permettent à celle-ci de s’étendre partout où elle pourrait et perpétuer sa colonisation ; en cela, notre pérennité en tant qu’espèce, peut s’avérer menacée, tant nos réalisations vont au-delà de notre survivance raisonnable, et notre sagesse (s’il en est une) à engendrer des processus en équilibre avec le milieu ne paraît pas pertinemment efficiente ; il nous manque certaines dimensions que certains semblent pourtant obtenir (sans discernement véritable), mais dont le mécanisme apporte toujours des légendes (des histoires à dormir debout), des suspicions (corruptions de tous bords), des limites à l’entendement (probablement une génétique dépassée)… n’en avez-vous pas assez de ces leurres ? On peut avancer malgré cela, savez-vous ? Choses que le robote ignore, lui, dans son fonctionnement, n’élabore qu’une logique déterministe, celle qu’on lui a attribuée ; tout le souci réside dans son entretien, dans la volonté de lui permettre de perdurer (et dans la méthode encore simpliste de sa régulation aléatoire : « trouver la juste mesure ? ») ; tout son processus devrait autoriser à ce qu’il optimise la résolution de ces problèmes-là en parallèle avec les tâches pour lesquels on l’a conçu…