(entre deux sommeils – 15 juin 2019 à 2h39)

—> 3. « singes savants », philosophia vitae :  :
—> relier à théorie deuxième
—> hypothèse, anticipation d’une découverte potentielle, possible…

culture de la vie (réalisée par autrui ?)

(original)
Nous trouverons (d’abord) cette élaboration, d’une culture de la vie sur cette planète, faite (élaborée) par quelques entités habitant le temps, ayant un âge incommensurable, visitant par moments notre planète et piochant de-ci de-là, modifiant de-ci de-là ce qui les intéressa, pour voir comment ça fait si l’on faisait ceci ou cela (comme la culture d’une herbe quelconque, la cultiver patiemment, l’entité ferait ça en grand, de toute la vie l’englobant, elle l’essaimerait comme un géant, sur toute la planète, en grand !) ; c’est une idée, il faut l’approfondir ?
Mais voilà, j’en ai d’autres d’idées qui me sont venues et qui viendront demain que j’ajouterai ici, si le sort m’en laisse le temps, de cette vie qui m’exaspère tant (on y a semé trop de dépit au-dedans). Est-elle une fin en soi, dans tout cet univers, on ne sait, on ne sait ? Moi je n’y crois guère ! D’ailleurs, je ne crois guère (peu) à quoi que ce soit, à nulle entité, à aucune voix. Je m’imagine donc des mondes pour refaire sans cesse la comédie d’une éventualité de ce monde, tel qu’elle pourrait être ; et qu’on se dise « c’était ça le destin de notre vie » et que puis (puisse) un jour « è finita la commedia ! ».
Revient tout le temps cette incapacité à penser autrement, et puis l’inspiration disparaît, plus rien ne vient. Il faut croiser des gens (tout être, même des géants, même l’insignifiant), des lieux, par tous les temps pour qu’elle revienne cette inspiration tant (longtemps) méditée ; pour qu’elle s’ingénie en vous et vous donne ce que vous avez mérité ou non ; c’est selon ce que le vent (ou le rat apprivoisé) vous a (voudra vous) rapporter, parfois un ouragan, parfois un simple éventement, parfois des pluies diluviennes, parfois d’infinies variations, des effluves qui vous viennent (ou juste une toute petite graine), je n’ai rien d’autre à ajouter !

(corrigé)
Nous trouverons d’abord cette élaboration d’une culture de la vie sur cette planète, conçue par quelques entités habitant le temps, ayant un âge incommensurable, la revisitant par moments et piochant de-ci de-là, modifiant de-ci de-là ce qui les intéressa, pour voir comment ça fait si l’on touche à ceci ou cela. Comme la culture d’une herbe quelconque, la cultiver patiemment, l’entité établirait ça en grand avec toute forme de vie, l’englobant toute, elle l’essaimerait comme un géant, sur toute la planète, en grand ! C’est une idée, se dirait-elle, il faut l’approfondir et en extirper quelques informations ?
Mais voilà, j’en ai d’autres d’idées qui me sont venues et qui viendront demain que j’ajouterai ici, si le sort m’en laisse le temps, de cette vie qui m’exaspère tant, on y a semé trop de dépit au-dedans. Est-elle une fin en soi, dans tout cet univers, on ne sait, on ne sait ? Moi je n’y crois guère ! D’ailleurs, je ne crois guère à quoi que ce soit, à nulle entité, à aucune voix. Je m’imagine donc des mondes pour refaire sans cesse la comédie d’une éventualité de ce monde telle qu’elle pourrait être, et qu’on se dise « c’était donc ça le destin de toute vie ? » avant que se finissent un jour toutes ces comédies.
Elle resurgira tout le temps cette incapacité à penser autrement, et puis l’inspiration disparaît, plus rien ne vient. Il vous faudra alors croiser de nouveau des gens, tous les êtres, gentils ou méchants, même les géants, même ceux qui semble insignifiants, des lieux parcourus par tous les temps, pour qu’elle revienne cette inspiration longuement méditée ; pour qu’elle s’ingénie encore en vous, puis vous donne ce que vous avez mérité ou non ! C’est selon ce que le vent aura apprivoisé et voudra vous rapporter, parfois un ouragan, parfois un simple éventement, parfois des pluies diluviennes, parfois d’infinies variations, des effluves qui vous arrivent ou juste une toute petite graine ; c’est là qu’il est bon de savoir comment la semer, la mettre en terre pour voir ce qu’elle va engendrer… Je ne trouve rien d’autre à ajouter !