(texte manuscrit – 16 avril 2022 vers 16h15)
—> (laisser mûrir, mettre des équivalents aux termes charnières, comme dans le récit du 31 mars 2020, « une entité peu ordinaire », volume : 0 › ὕλη, entre-deux)
(note : selon le contexte, remplacer les termes « doctrine, mythologie, croyance, communauté : temps, exploration, inconnu, habitudes, méthodes, égarement, découverte, renouveau, adaptation, évoluer, mort, refus, mécanisme, vieillir, renouvellement, vivant, mouvement » par synonymes et contextes analogues)
« aucune doctrine »
N’étant inféodé à aucune doctrine, mythologie, croyance, communauté quelconque, tout en puisant dans ce qui semble faire sens, le temps d’une exploration, d’une étape, d’une progression, d’un avancement vers un inconnu (l’inconnu), ignoré par conséquent, qu’il faudrait bien explorer tout de même (un jour ou l’autre), et ainsi de suite, rompre avec les habitudes et les méthodes (avec leurs disciples réciproques en science, technologie, croyance, etc.), au risque d’un égarement, mais aussi d’une découverte, d’un renouveau, d’une avancée conséquente, une adaptation, puis d’accepter d’évoluer, cette nécessité d’une évolution contrainte, tout bouge et change, de toute façon, la mort devient un refus de progresser, l’on meurt par ce simple mécanisme, qu’à un moment votre corps cesse de grandir, il vieillit (vieillir), vous devez laisser la place, contrainte du renouvellement des choses, du vivant, qui ose s’y opposer à ce mouvement ? Il en mourra quoi qu’il fasse (comme) le Dindon de la farce…