(textes (??) - 21 nov. 2016 à 15h11)
—> peregrinatio, peregrinari (final), tome 2 p. 18
Les débuts n’apporteront rien de plus que ce qu’ils sont, ce n’est que la fin qui restera au bout du compte seule ; et puis lavons-le de toutes ces ambiguïtés, tel un Dieu, imitons ce créateur et donnons-lui cette emphase, ce qu’on dira de lui en fait, là où on lui apportera la vie.
—> studium, dehors, il aimait bien perdre, tome 1 p. 193
—> lien avec un lecteur préalable (voix en marchant - 14 déc. 2016 à 17h26)
Rechercher la performance n’est qu’un égarement de trop, une sorte de sport, alors que sous des apparences qui peuvent nous paraître insignifiantes, il devrait s’agir plutôt d’y trouver une ultime substance, la plus profonde en soi, une honnêteté, une sincérité, ce qui fait de toi un vivant et non un « performeur », car cela ne flatte que ton ego. C’est allé à l’essentiel, ce qui peut apporter un immense détachement, faire parler ce que nous ne comprenons pas, ce qui nous a été donné et dont nous ignorons tout. La recherche d’une virtuosité ne représente pas ce détachement, c’est l’inverse, une perte de temps, un égarement.
—> ajoutements, philosophia vitae, comprenez, la vie c’est… : mais la vie en fait (cours) (texte (??) – 1 janv. 2017 à 13h52)
—> à relier avec : la chose se dévoile (parole en marchant - 27 août 2017 à 20h45)
Il est venu le temps où l’on doit apprendre à partager ! avez-vous bien entendu ?
—> peregrinatio, livre 1, préalable, tome 2 p. 23
De la séduction et de son mythe.
Vous aviez conclu en lui un désordre de sa sensiblerie, quelques idées toxiques qui empiétaient sur son esprit. Une médecine douce vous aviez recommandé pour ôter le préjudice.
—> peregrinatio, peregrinari (final), tome 2 p. 18, 19
Il n’en finissait plus de s’en aller, il a toujours agi ainsi, quand on s’habitue à ses pas, là.
Ah ! Vous avez loupé l’effet d’une partance adéquate, le cérémoniel en reste tout bouleversé, il faudra réécrire la prose. C’est décevant ! Mais quand part-il au fait ?
Ils ont emporté mon enfance et de ces plaisirs-là, je m’en suis maintes fois retourné, jamais plus ne les reverrait ses désirs fous des yeux de ma jeunesse.
Malgré que je m’en sois à maintes occasions détourné, je n’en trouvais plus ni cette aube ni tous les fruits de mon errance.